Ceux qui tirent leurs marrons du feu Il y a ceux qui vont mal, s’interrogent dans l’angoisse sur la réouverture des restaurants (on parle désormais de mi-juin), envisagent l’avenir avec pessimisme, mettent la clé sous la porte, et ceux qui prennent l’initiative d’aller de l’avant. En temps de pandémie galopante et de fermeture obligée, de […]...
La « victoire » de Marc Veyrat contre le Michelin « Je ferai appel. Ils ne me connaissent pas. Je suis un guerrier. Je ne les lâcherai pas comme ça« . Il ne décolère pas, Marc Veyrat, qui s’est payé le meilleur des coups de pub contre le Michelin en 2019. Le tribunal de grande instance de Nanterre a […]...
Deux ans jour par jour qu’on a visité le Gabriel ! La maison a changé de directeur (Romain Meiran, venu du Cheval Blanc à Courchevel, a pris la place du dandy voyageur Jean-Luc Naret), non d’esprit, jouant le sommet des étoiles sous la houlette de Jérôme Banctel. L’ancien lieutenant de Bernard Pacaud et d’Alain Senderens, […]...
Shalom Kadosh au Café de la Paix Il choisi la Paix! Shalom Kadosh est depuis quatre décennies au four et au moulin en Israël, devenant le Bocuse casher de son pays, formant deux générations de jeunes chefs qui désormais se font connaître dans le monde entier. Le chef du Leonardo Plaza à Jérusalem, qui est […]...
Shalom Kadosh ? On vous en parlé maintes fois. Ce « Bocuse casher », qui fait la cuisine pour le président d’Israël, exerce au sein du Leonardo Plaza, dans sa vaste tour (ex Sheraton) face aux murailles de la vieille ville. Il y accueille, dans ses salles boisées du « Bœuf sur le Toit », le beau monde de […]...
Michelin 2017 : dernières rumeurs Piège et son Grand Restaurant fileront-ils vers les trois étoiles ? Alexandre Gauthier de la Grenouillère accèdera-t-il enfin à la 2e ? Comme d’ailleurs Kei Kobayashi (Kei, rue du Coq Héron), à Paris ? Le Clarence, d’Antoine Pétrus et Christophe Pelé, l’Espadon au Ritz de Nicolas Sale obtiendront-ils deux étoiles […]...
Shalom Kadosh: on vous en a déjà parlé maintes fois. Il est à la fois le fédérateur des bons chefs d’Israël, le formateur, le passeur, le transmetteur, après avoir été le premier, le Bocuse casher. Jadis à la télé israélienne, aujourd’hui, dans les manifestations, comme So French So Food, qui l’a vu oeuvrer à quatre […]...
Les 28 d’Israël Ils étaient 10 en 2013, ils sont 28 en 2016: 28 chefs français qui ont répondu à l’appel de Patrick Maisonnave l’ambassadeur de France en Israel et de l’Institut Culturel Français de Tel Aviv, imaginant la 4e édition de « So French, So Food ». Artisans, chefs étoilés, mais aussi un boulanger et un […]...
On vous a beaucoup parlé de lui. Il rayonne dans tout Israël, fut le Raymond Oliver israëlien, avec un show télé, dans les années 1980, puis le Bocuse kasher, formant, lançant, promouvant, innovant, devenu non seulement chef d’école, avec ses disciples nombreux, mais « le » chef officiel de son pays, cuisinant pour le président Itzhak Rabin, […]...
C’est une ambiance intemporelle qui m’évoque le Strasbourg des années 1960 mais où chacun pourrait retrouver ses souvenirs: un brunch casher, avec son public en costumes, perruques, kippa, streimel, dignes des Aventures de Rabbi Jacob, ses gourmandises de toutes les origines, sa cuisine de l’Europe de l’Est, mais aussi les mouttabal, houmous ou taboulé, mitonnés […]...
Ezra Kedem est, on le sait, le chef vedette de son bout de venelle non loin du marché Ma’hané Yehuda. Ce rebelle, qui n’a qu’une religion – celle du beau produit – et cuisine pour la paix, est prêt à tout pour livrer le meilleur des potagers d’Israël et des poissons de qualité à un […]...
Il est l’un des personnages récurrents de ce blog, comme un diable – plutôt un bon dieu – sorti régulièrement de sa boîte. Dès qu’il s’agit d’Israël, sa voix et son visage s’imposent. Il est, depuis près de quatre décennies, le bon chef pédago du pays, plaidant pour la cuisine casher, rusant et usant de […]...
Il est le roi du falafel (les boulettes de pois chiche), livre le meilleur houmous, le plus naturel de la ville, le moins gras, le préféré en tout cas de Shalom Kadosh, l’homme du Leonardo Plaza, qui fut le Raymond Olivier d’Israël, et qui constitue notre référence – que dis-je -, notre balise en la […]...
Le bonheur de Jérusalem? Pas seulement la ville ancienne, close de ses remparts, le mur occidental, les temples de toutes les religions, les collines et le mont Scopus, mais aussi les couleurs du marché de Ma’hané Yehuda. Poissons exquis, jolis légumes, fruits exotiques, épices en tout genre, médicaments savants, glissés au passage par le malicieux […]...
C’est lui qui fait le buzz: 37 ans, pur produit d’Israël, formé chez maman, native de Marrakech (son père, lui, est algérien), Moshe Segev est bien l’homme du moment à découvrir. Il a ouvert son fast food (de luxe) à Tel Aviv, mais c’est bien dans la fameuse zone industrielle, très chic, très high tech, […]...
Il est le « Bocuse casher » de Jérusalem, officie au Léonardo (ex-Sheraton Jerusalem Plaza), sur son esplanade face à la vieille ville, a fait venir les grands chefs du monde entier en Israël, pour son jubilé en janvier dernier. Ce mois de décembre, Shalom Kadosh a découvert un Paris enneigé avec ses rues sans taxis, ses […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.