Il s’y est pris discrètement, Manuel Martinez. Le MOF, deux étoiles du Relais Louis XIII, roi de la quenelle de brochet qu’il mitonnait déjà à la Tour d’Argent, renouvelle la façon de présenter le chou : avec un sabayon au fromage blanc, au café ou au chocolat. La demeure, mignonne comme un coeur, sise sur […]...
Il est l’artiste sucré du vieux St Rémy. Installé au coeur du vieux village, à deux pas de la pittoresque place Favier et du musée des Alpilles, Michel Marshall, qui travailla aux Elysées du Vernet avec Alain Soliveres, chez Ladurée avec Pierre Hermé et avec Philippe Conticini chez Petrossian, fait miroiter ses créations sucrées mais […]...
Fanny et Marion Maloyan, dont le père était pâtissier à Lyon et ici même, ont fait d’une demeure pittoresque de la place Favier, au cœur de la vieille ville, toute voisine de l’hôtel de Sade, leur lieu de c cœur. Elles servent en salle ou en terrasse gâteaux de leur compositions, fraîches salades du jour […]...
L’enseigne? Le prénom raccourci de Caroline Pons-Saltiel, qui travailla en salle à la Cabro d’Or aux Baux, et a dédié à ses deux passions (table et vins) cette petite boîte sympa, cachée dans un recoin discret de la place du Forum. Il y a deux salles, un grand comptoir, une cuisine semi-ouverte où s’active le […]...
C’est l’hôtel mythique d’Arles, pile sur la place du Forum, celui qui accueillit les beaux et belles du temps jadis. Créé en 1865, face à la statue de Mistral, avec ses meubles Art déco, ses souvenirs en noir et blanc sur les murs, les amoureux des rencontres de la photo et de la tauromachie. Simone […]...
A côté de son Atelier deux fois étoilé, Jean-Luc Rabanel a fait de son bistrot relax, la bonne affaire de sa rue gourmande. On reçoit là, de 9h30 à 23h, tous les jours, en terrasse ou dans un cadre alerte, pour le petit déjeuner camarguais, le brunch, le déjeuner, les après-midi gourmands, le dîner, et […]...
On a connu les Le Beaudour à St Pol de Léon, lorqu’ils tenaient la Pomme d’Api. Yannick, originaire de Lannion, et Khady, native de Dakar, ont repris avec entrain un ancien hôtel-restaurant de port revu non sans chic. Il n’y a pas encore de chambres en fonction, mais la décor de la salle avec verrière […]...
La pâtisserie date de 1884, la demeure, elle, avec sa façade sculptée et chantournée, est plus ancienne. Mais les gâteaux de Pierre Martin sont d’aujourd’hui et de toujours. Ses variations autour des pâtes meringuée aux amandes, tels que le russe comme à Dax ou Oloron, le succès rebaptisé le brie avec sa crème montée légère, […]...
C’est le genre de café de quartier sur lequel on ne s’arrête guère, sinon pour prendre un verre en terrasse. Ou grignoter un morceau sur le pouce. On a tort. Le frichti vaut le détour, comme le décor coloré et rigolo, rendant hommage, par silhouettes interposées à Jacques Tati, qui possède le ciné en face […]...
Au cours d’une promenade dans Donostia la commerçante, cette « meson » sise à deux pas de la plage de la Concha, au coeur du centre, offre ses casse-croûte à toute heure. Jolies tartines en folie, anchois, fromage manchego ou chorizo, jambon ibérique de qualité se goûtent tout seul. Et poussent joliment à la soif....
Les bar à pinxos, le casse-croûte basque, sont la spécialité de San Sébastian. Un bon exemple: la Cepa, dans sa simplicité, son naturel et sa gentillesse. On l’aime d’amour cette typique bodega de la vieille ville, avec ses jambons suspendus, ses jolis crus, ses “ pinxos ” en folie, sa fameuse tortilla aux pommes de terre....
La boutique est pittoresque, chaleureusement vieillotte, avec stucs et vitraux. On vient pour la pause sucrée entre deux courses. Depuis 1854, on fabrique ici le fameux chocolat chaud à boire, mousseux, léger, parfumé à la cannelle, qui fait accourir tout le pays basque, qu’on goûte en compagnie de jolies brioches. La tradition continue, avec en […]...
C’est le pavillon relax de la maison Lenôtre sur les Champs-Elysées. Ce fut tour à tour une table gourmande de haut niveau, deux fois étoilée – du temps de Gaston et de Patrick Lenôtre -, puis un Café relax. On y vient pour le déjeuner en terrasse, les salons de réception, la table de bonne […]...
C’est un café pas comme les autres, imaginé entre ses deux maisons (chez Michel, Casimir) et au dessus de son fournil, un lieu affable, un peu à part: Thierry Breton, aubergiste prolifique et désormais boulanger, livrant bon nombre de ses collègues dans Paris, y a fait ouvert un « café casse croûte » à sa manière, réinventant […]...
Notre avocat gourmet Didier Chambeau a découvert la neuve maison de Farid Saïdi. Une jolie pioche. Avec un savoir-faire et une maîtrise que nous lui connaissions au 122 Grenelle, Farid Saïdi, qui continue d’officier dans le quartier des ministères avec succès, plonge tête baissée dans le populaire canaille et gourmand pour le plus grand plaisir […]...
Une halte dans la promenade, avec sa terrasse au soleil, ses bières au comptoir, son café (Malongo) impeccablement serré, sa clientèle gaie, bruyante, largement british: juste avant la vieille ville, à deux pas du port et du marché provençal, ce pub alerte joue les rendez-vous de charme....
C’était un bar/brasserie modianesque et intrigant. C’est devenu, après huit mois de travaux, un lieu mode et branché, reliant les brasseries de toujours aux cafés new yorkais, les bars terrasses parisiens aux deli façon Katz ou Carnegie. Un peu ci, un peu ça, avec pas mal d’idées dans le vent. Explication: Frédérik-Ernestine Grasser-Hermé, alias FEGH, […]...
Ce joli salon de thé baroque, avec sa terrasse, son salon intérieur, sa mezzanine, son lustre à l’italienne, ses tons grisés et ses recoins cosys, constitue une halte au calme à deux pas des rues commerçantes (Liberté, Muffa) du Nice qui bouge. On sert là les pâtisseries de Patrick Mesiano, ex chef pâtissier du Joël […]...
C’est un café des hauts de la rue Taison qui monte vers Ste Croix. Angelo Montana et Patrick Guillerand qui l’on repris avec gaîté y servent à boire de 10h à 2h du matin sans omettre de nourrir gentiment le chaland à coups de bruschette (garnies de pommes de terre, mozzarella, raclette, tomates fraîches ou […]...
Cette table d’angle aux airs de café de toujours fut, il y a peu encore, un magasin de chaussures et, auparavant, un a parfumeur. L’escalier de métal en colimaçon qui monte au premier étage est lui millésimé 1903. Jorge Dos Santos, qui fut jadis ingénieur de recherche en informatique et électronique, l’a revu en lieu […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.