Les débuts éblouissants d’Eugénie Béziat au Ritz Premièrement, on ne dit plus l’Espadon, mais Espadon. Deuxièmement : le lieu a changé de place et d’écrin, retrouvant la localisation qui fut la sienne à l’origine, dans le palace de la place Vendôme. Il se trouve au bout d’un long couloir, avec ses vingt six couverts et […]...
Chez Philippe ? C’est la vaste maison en ville de Philippe Chevrier, qui cumule les plaisirs, entre tables de belle venue et bistrots. Le grand chef de Satigny, relayé par son disciple Gilles Granziero, associé à la grande boucherie du Molard, propose, dans le passage des Lions, commerçant et gourmand, débouchant sur l’élégante rue du […]...
Sept ans pile sans retourner chez Philippe Chevrier : pire qu’un crime, une faute ! Sa maison s’embellit, sa vieille ferme vigneronne se vêt de bois se mêlant aux pierres, jouant la modernité sans rupture avec la tradition. Vrai chef, suisse authentique, élève de Louis Outhier à la Napoule et de Frédy Girardet à Crissier, […]...
Un café de carte postale, dans une ancienne pizzeria de village, qui fut aussi un café en 1900: nous voilà dans une maison estampillée Chevrier, même si le maestro du domaine de Châteauvieux a mis le lieu en gérance. Alain Gaudin, qui fut son homme de confiance en salle, après œuvré chez Marc Veyrat à […]...
Il trône sur les hauts de Genève, dans la vaste commune viticole de Satigny. Le domaine de Châteauvieux, c’est à la fois sa grande table, sa cave, son épicerie, son bastion, sur lequel il peut régner à l’entour. Philippe Chevrier possède des tables à Carouge (les Négociants) ou à Peney Dessous (le Café de Péney), s’apprête […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.