Premièrement, on ne dit plus l’Espadon, mais Espadon. Deuxièmement : le lieu a changé de place et d’écrin, retrouvant la localisation qui fut la sienne à l’origine, dans le palace de la place Vendôme. Il se trouve au bout d’un long couloir, avec ses vingt six couverts et ses tables fort bien nappées en rez […]...
C’est le neuf salon de thé moderne du Ritz, un comptoir rue Cambon, qui offre à son pâtissier star François Perret, devenu une vedette sur Netflix, une magnifique vitrine avec un écrin futuriste à l’image du Korova Milk Bar d’Orange Mécanique. On y goûte des boissons pâtissières au lait biscuité avec ses « toppings » […]...
Tel Aviv phare gastronomique Une ville où les gens se promènent sans masques, abondent aux terrasse de restaurants et de cafés comme à l’intérieur, dont l’esprit libre et décomplexé s’exporte dans le monde entier : c’est Tel Aviv. On mange « ‘levantin » ou « telavivien » à Paris, chez Sabich, Pichpich, Adar, Tavline, Shouk, Blitz, Salatim, Mafim, Ima, […]...
Le sucre avec élégance, les fruits avec malice, le chocolat avec gourmandise, les classiques recréés (poire belle hélène, madeleine, meringue, saint-honoré, mille-feuille, à sa manière), ses tryptiques autour d’un ingrédient unique (fraise, miel, coing, chocolat) : on ne s’embête jamais avec François Perret qui a en charge toute la partition sucrée du Ritz, des deux […]...
On l’a tellement attendu ce nouvel Espadon qu’on a un peu l’impression de retrouver un ami trop longtemps perdu de vue. Revu dans les tons roses – c’était bleuté dans le temps -, pourvu d’un jardin sous verrière, doté d’un service ultra performant, avec, aux commandes, le sage Philippe Cousseau, aperçu précédemment au George V, […]...
Les retards du Ritz Ses travaux s’éternisent. Le palace légendaire, qui trône comme une perle sur la place Vendôme, devait rouvrir en septembre prochain. Las, les réservations débutent pour l’hôtel mais avec une ouverture des chambres… le 14 mars 2016 soit sept mois de retard sur la première date annoncée. Le restaurant, lui, devrait accueillir […]...
Il s’est aisément coulé dans le moule. Venu de chez Lasserre, ancien de chez Ducasse, élève de Cirino, classique sachant évoluer avec le temps, la saison, surfer sur la mode sans jamais y plonger, Christophe Moret a repris le registre de l’Abeille, laissé en friche par Philippe Labbé en simplifiant la manière maison. Le produit de […]...
Il avance à pas comptés, vient d’arriver, mesure le lieu avec prudence. Il y a le Shang Palace pour les émois chinois, l’Abeille pour le grand art à la française et puis la Bauhinia, délicate maison sur deux étages avec sa mezzanine, en rouge et vert, signée Pierre-Yves Rochon, jouant Marie-Chantal chez les Malais. Le […]...
Chic, cossu, seizième, avec des grâces de palace international, savoureux, à la fois complexe et jouant l’épure: c’est le nouveau restaurant gastronomique du Shangri-La hôtel. A coup sûr, un événement gourmand. Il y a le décor de salle à manger bourgeoise de Pierre-Yves Rochon, le service appliqué sous la houlette de Christophe Kelsch, qu’on connut […]...
Voilà enfin, après trois ans et demi de travaux, le mystère dévoilé. Voilà le beau palais de Roland Bonaparte ouvert et restauré, place Iéna, face au Conseil Economique et Social. Le lieu, c’est l’hôtel Shangri-La, est encore en rodage. Mais côté table, la Bauhinia, qui emprunte son nom à la fleur exotique ornant le […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.