Le Rive Gauche
« Tours: le nouveau Rive Gauche est arrivé »
Article Archivé
Selon nos dernières informations l'article fait référence à des informations qui sont maintenant obsolètes.
Cet article est donc archivé.
GP, Guillaume Ponsard, Gaëtan Evrard © Maurice Rougemont
Trop vite arrivée, trop vite repartie, l’étoile de Rive Gauche n’a pas feu long feu chez Michelin au coeur de Tours. Voilà cette maison moderne avec ses deux salles à la fois cosys et relaxes, son bar/comptoir d’entrée où l’on prend ses aises et l’apéro joue une carte neuve. Fabien Lagelle et Guillaume Ponsard, qui l’animent avec entrain, viennent d’agrandir leur maison d’une nouvelle aile de 80 m2 où ils s’apprêtent à accueillir des cours de cuisine ainsi qu’une épicerie.
Foie gras aux pommes Granny © Maurice Rougemont
Ils jouent désormais « la gastronomie décomplexée » dans leur demeure toujours en vogue. Aux fourneaux, le jeune Gaëtan Evrard, qui a travaillé côté traiteur à Cordeillan-Bages avec Thierry Marx et fut le second de la Tortinière à Montbazon, sélectionne ses produits à bonne source et les cuisine avec rigueur. C’est vif, riche, bien vue, avec des appellations amusantes, réfléchies, jouant les saisons et les traditions avec malice.
Makis de saumon © Maurice Rougemont
Il y a le velouté de courge « muscade », la terrine de foie gras en gelée de Granny Smith et son chutney de pommes et coing ou les makis de saumon mi fumé à la crème légère de wasabi en guise d’entrées alertes. Ajoutez y le mulet sauvage de Loire cuit en vapeur douce avec son écrasée de pommes charlotte, sa nage de couteaux dans une légère écume de Vodka Zubrowka avec du caviar de hareng (dit « héritage russe ») ou le pigeon de Racan au thé fumé qui ne manquent ni de répondant, ni de caractère. En issue, le nougat de Tours avec son lait glacé au kirsch et son sorbet à l’abricot fait honneur de délicate façon à la tradition tourangelle du dessert tout en douceurs.
Nougat de Tours © Maurice Rougemont
A actualiser rapidement : l’enseigne a disparu, remplacée par un restaurant axé sur le vin, les actionnaires majoritaires étant de la famille Blot, de Montlouis.
Je ne suis pas de l’avis de l’internaute précédent.
J’ai trouvé la cuisine du nouveau Chef très largement à la hauteur de l’ancien avec en plus des délais de services beaucoup plus rapide. Ce qui n’était pas un luxe.
J’y ai trouvé une cuisine savoureuse et originale emprunte de saveurs asiatique avec son crabe au combava. Une cloche de Rossini tout à fait surprenante avec une fumée au bois de cèdre qui se marie parfaitement avec l’ensemble bien saisi. Et je me suis régalé avec un nougat de Tours 3 fois médaillé d’or.
C’était très bon et j’ai du débourser 60 euros je crois.
(Suite oups !) oui donc abreuvés de toutes ces émissions, de ces techniques de plus en plus faussement compliquees on en oublis le goût.
Dommage. Terriblement déçue, je me console qu’à quelques encablure de là Akram réouvre son atelier….. Youpi.
Mince, pas du tout ce ressenti là. J’ai découvert le « rive gauche » à son ouverture. Une claque ! Ha! La merveille de ces petits légumes croquants à la nage dans un bouillon à base de lait coco!!! Une pensée pour le gargouilloux de légumes de Ducasse. Six mois après, toujours le même plat. Bon, un peu déçue. J’y retourne après deux ans, la semaine dernière, suite à votre article et là patatra. Mon entrée: velouté au panais avec un espuma de je ne sais plus quoi avec des frites de brochet qui étaient noyées dans le velouté, beuark! On aurait dit des petits bouts de caoutchouc. Aucun croquant attendue par la « frite ». Dommage. Mon ami prend des maki, déception, le saumon est tranché trop épais, la pièce est trop grasse, le wasabi …. Absent (!!!) Pour suivre, moi, tranche de cabillaud avec un jus sauce Colombo et des christofines. Cuisson cabillaud simplisme, sauce simplisme et christofine trop dur, zut en la coupant un bout saute sur la nappe. Bon. Mon ami, prend les St. Jacques, un peu rustique me dit-il. Au dessert je prend le crumble tiède aux pommes ou poires je ne sais plus, bing je me brûle sur la première bouchée. Mon ami a pris le macaron décomplexé, pour sur il manquait là aussi le bonbon à la framboise annoncée sur la carte. Honnêtement, pour 114.- euros à midi à Tours!… Non, trop d’erreur de débutants. Dans un restaurant sans article, sans réputation, j’aurais été bluffée. J’aurais attendu que le chef se trouve. Je pense que monsieur Gaétan a oublié que abreuvés de Top Chef, MasterCard Chef, Miami et autres diner presque parfaits
une superbe adresse à Tours pour les « papilles averties » Quelle talentueuse cuisine !!!!!!chaque plat un véritable tableau !!bravo au chef….
on ne rêve que d’une chose …y retourner
monique w
J’adore cet endroit… Le nouveau chef est top !! J’ai vraiment hâte de découvrir l’épicerie et les cours de cuisine (merci grand maître Pudlo de l’info !)