Aux Armes de Strasbourg « Stadtwappe »

Le service de charme © GP

Le bâtiment date de 1544, la brasserie, actuelle, de 1900. Ce fut d’abord A la Guenon, puis au Cerf d’Or. Enfin, Stadtwappe, autrement dit Aux Armes de la Ville au début du siècle précédent. La demeure a gardé ses fresques d’André Wagner, ses banquettes de bois, ses patères en cuivre, son comptoir-desserte. Philippe Bohrer, à qui on doit la rénovation du Crocodile, a rénové le lieu qui a conservé son air ancien, mais s’est doté d’une équipe de charme sous la houlette de la gracieuse Julie.

Salade de pot au feu © GP

Harengs Matjes © GP

La maison a du succès et la cuisine y résiste avec allant, jouant le met de toujours avec sûreté. Salade de pot au feu ou de cervelas, presskopf maison ou harengs matjes à la crème (qu’on peu servir en demie portion), solide bouchée à la reine avec ses spaetzle, jolie tête de veau sauce gribiche, vacherin glacé, qu’on arrose de jolis vins issus d’une carte éclectique, d’un riesling de chez Klipfel à Barr en pichet ou d’une Fischer tradition à la pression, s’en tirent fort bien et font aimablement plaisir à tous.

Tête de veau © GP

Bouchée à la reine © GP

Grande terrasse pour les beaux jours et service non stop, tous les jours, en cuisine chaude de 11h30 à minuit.

Vacherin glacé © GP