On s’y était déconfiné en juin l’an passé. On sait que sur sa place/carrefour où les brasseries abondent, ce Murat, à l’angle de la rue d’Auteuil et du boulevard qui donne son nom au lieu, joue les stars tranquilles de son registre. Le service est prompt, élégant, diligent, la carte fait aisément plaisir à tous […]...
Le meilleur endroit où se déconfiner en douceur à Auteuil, ce village de l’Ouest parisien? Le Murat, évidemment avec sa vaste terrasse de 80 couverts, qui mord un tantinet sur l’intérieur et le trottoir, fait face aux brasseries voisines (Congrès et Auteuil), offrant le joli frichti mode du jour. Le service a les politesses d’un […]...
Tout Paris est toujours au Murat, à l’intérieur, dans un cadre d’isba parodique, façon « retraite de Russie », en version chic. Dominique Desseigne, patron du groupe Barrière est là « de retour de Deauville« . De fait, le lieu géré par Mathieu Bucher, façon frères Costes, avec un personnel aux aguets, assurent, pile en lisière de la porte […]...
Ce n’est, certes, pas une nouveauté, mais une adresse sûre pour se croire en vacances avant l’heure. Un coup de rosé du domaine de l’île de Porquerolles, des plats fusion bien vus, un service qui fait face au succès, des tables qui se conquièrent de haute lutte, plus un cadre d’isba chic façon retraite de […]...
Beaux, belles, en direct du 16e, de Roland-Garros tout voisin, des studios de télé proches et des boîtes de pub sises non loin se retrouvent dans cette belle brasserie créée jadis par Jean-Louis Costes, reprise par Mathieu Bucher avec entrain. Cet héritier, qui a reconquis un empire (le Galopin à la Bourse, le Café de […]...
Cinq ans sans aller au Murat! La dernière fois, c’était un repas du dimanche soir avec le regretté Robert Sabatier. Le lieu garde son côté Lipp d’Auteuil, reçoit le beau monde, avec chic, dans un cadre militaire façon Empire – et retraite de Russie – imaginé par Jacques Garcia non sans idées. Le bagage culinaire […]...
C’est ouvert en août, ouvert le dimanche soir, bref, malgré ses airs de club élitiste et snob, ouvert à tous. C’est le Murat. Robert Sabatier, qui habite à deux pas et passe le mois d’août à Paris, après avec subi un bref accident de bus et une légère fracture de l’épaule qui ne lui a […]...
Question à 65 € par tête: où déjeuner à Paris, un quatorze juillet, alors qu’il est tard, que tombent des trombes d’eau du ciel et qu’on n’est pas très sûr de son (bon) goût ce jour d’été gâché par les questions d’actualité. Dans un Costes, bien sûr. Donc, voilà le Murat, pile à la porte […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.