Auberge du Moulin Vert
« Paris 14e: la belle santé du Moulin Vert »
L’équipe © GP
Les Dorr, Garry et Willy, qui possèdent une douzaine d’établissements dans Paris ont repris cette guinguette millésimée 1848, qui eut son heure de gloire, quand Montparnasse était un village champêtre et une terre d’artistes. Elle fut dévolue aux noces et banquets, fut un temps le Jardin de la Paresse, avec Michel Lentz, ex du Crillon et futur chef du Royal Evian, aux fourneaux.
Plates de Prat ar Coum © GP
C’était il y a trente ans. La maison a rénovée de couleurs gaies, pourvue d’une équipe sérieuse. Le manager de salle, Thierry Brusson, qu’on vit au Bar à Huîtres Montparnasse, est à la manœuvre de salle, tandis que Rémy Robert, qui travailla notamment chez Marius et Jeanette, veille les cuisines.
Foie gras et son chutney © GP
La maison mixe les deux formules du groupe: huîtres, coquillages, poissons frais, fruits de mer, plats traditionnels et bourgeois dans un menu jouant « le tout compris » à 44 €. Huîtres de Prat à Coum, en creuses ou plates, joli foie gras mi-cuit et son chutney de fruits, belle sole meunière, raie bouclée vapeur ou rognons de veau en cocotte sont pile poile.
Sole meunière © GP
On ajoute les vins bien choisis dans tous les pays, les gourmands desserts (île flottante aux pralines roses et crème anglaise, crêpes Suzette, glaces maison superbes comme la caramel au beurre salé ou l’exquise « petit suisse »): bref, de quoi retrouver l’esprit ginguette de ce bon vieux Moulin Vert en passe d’être moderne.
Ile flottante © GP
Reclamation de reservation compliquee et decevante,
Le soir 23/11/2018, je suis allee au restaurant de l’Auberge du Moulin Vert pour une reservation d’un diner pour 15 personnes le 25/11/2018. A l’accueil, le personnel m’a donne le No telephone du service commercial pour cette reservation parce que le nombre personnes etait au dessus de 12. J.ai telephone au service commercial vers 18 h le 23/11/2018, une dame a pris la reservation et la confirmation allait m’envoyer par e mail. Je n’avais pas recu la confirmation. J’ai telephone au restaurant, un personnel m’avait dit que le WK service commercial ne travaille pas, mais le 25/11/ est un dimanche.
Depuis le changement de proprietaire, la reservation devient compliquee, l’accueil est mauvais, desagreable, les plats et les perdent de qualite. Nous sommes anciens habitues depuis 1992, nous sommes vraiment decus.
J’espere que les patrons devaient ecouter les mecontentements des clients pour que ce restaurant garde la bonne reputation autrefois.
je suis très déçu du resto c est plus comme avant a revoie je me reviendrait plus au resto je vais en parler avec mes amie
bonsoir moi aussi j étais un ancien habituer du moulin vers et j ai réserver l année dernier pour les 18 ans de ma fille et j avais invite 12 personnes et j ai été carrément dessus de l accueil pareil j ai renvoyé ma pièce de bœuf en cuisine et la deuxième etait malheureusement pas meilleurs en plus on nous a fais comprendre qui était temps de quitte les lieux malgré que nous en étions a la deuxième bouteilles de champagnes enfin j ai ete vraiment dessus et je le deconseille d ailleur maintenant nous y mettons plus les pieds ils ne merite pas
Etant allé l’an dernier dans la brasserie Dorr proche de la place Pereire où tout s’était bien passé, je suis allé la semaine dernière à l’auberge du moulin vert pour un repas décevant, particulièrement la qualité de la viande de boeuf qui me semble pourtant la base d’une brasserie digne de ce nom! J’ai fait remporter en cuisine le petit filet bien trop résistant sous la dent pour être acceptable ; le maître d’hôtel m’a alors proposé une entrecôte dont une bonne moitié n’était pas comestible (gras, nerfs…) il a eu, devant mes observations pleinement justifiées, la courtoisie de m’offrir la deuxième bouteille de vin. La salle était aux 3/4 vide, est ce un signe? J’ajouterai que la seule eau proposée est de l’eau du robinet filtrée (et gazéifiée si on le souhaite) à … 4 euros les 50 cl!!! soit 8 euros le litre de château – Hidalgo ! Jolie marge!
Découverte de ce restaurant le 23 février à l’occasion d’une soirée pour laquelle j’invitais un couple d’amis. Trés décue par ce restaurant pour lequel j’avais lu des éloges sur internet (peut être le mauvais site…). Habituée des restaurants « formule tout compris » je pensais découvrir autre chose de même qualité…Aucun accueil, service inexistant (couverts non changés) remis en dépit du bon sens après en avoir fait la demande, enfin je passerai sur d’autres détails, sauf sur la note balancée à même la table avant même que nous la demandions (il n’était pas tard 21h30, personnel pressé je pense)….Sensation de plats surgelés : servis trop rapidement après la commande, retour à la cuisine de 2 assiettes (pas assez cuit et glacé pour un dessert tiède…). Dommage l’endroit est agréable mais je n’y retournerai pas, c’était une invitation pour mes amis et j’étais gênée de les avoir fait découvrir cet endroit. Un point positif : un personnel de ce restaurant a dû le comprendre à travers quelques réflexions que j’ai pu faire.
Anciens habitués, nous avons été très déçus de ce changement de direction, de décor ET de qualité.
La salle d’avant, au charme suranné et sans prétention, est devenue très tape à l’oeil, peaux de vache au sol, couleurs criardes, skaï jaune et vert anis, exit les plantes.
Les toilettes, à la déco désormais très recherchée, étaient sales. Mais je n’ai pas remarqué tout de suite les nombreuses projections d’urine « grâce » à la lumière tamisée, à la cuvette et au sol noir.
Carte sous forme de tablette: c’est original mais peu utile en fait: ça s’éteint et il faut la réactiver régulièrement.
L’équipe en salle avait changé, les serveurs étaient débordés et oubliaient le pain (sur plusieurs tables). Le voiturier, un peu ridicule à ne rien faire, aurait pu être réquisitionné, sa présence eût été plus utile à l’intérieur du restaurant que dehors, les bras ballants.
Mais le plus décevant a été la qualité des mets. Nous avions encore en mémoire l’ancienne carte et ses classiques bien maîtrisés, les oeufs en meurette, le magret, l’agneau, le sanglier, l’île flottante géante… Et là, après une entrée correcte mais sans plus, on nous sert un risotto avec quatre petites noix de St Jacques, 3 moules et 3 minuscules praires dont l’une était fermée… ainsi qu’un magret de canard sec et peu savoureux (n’était-ce pas plutôt un simple filet?) accompagné d’un gratin dauphinois à l’avenant.
Nous avons préféré nous passer de desserts.
Et nous n’y retournerons plus.