La Fripounière
« Le bonheur à Roubion selon Patrick »
Un article plus récent sur le même sujet est disponible sur notre site, vous pouvez le retrouver en cliquant ici
Patrick et Anne-Claude © Alain Angenost
Un message de mon correspondant azuréen, Alain Angenost, qui a retrouvé la trace d’un grand pro de l’hôtelerie devenu aubergiste bonhomme et simplement hospitalier. C’est Patrick Caron (ex Royal Evian, ex hôtel du Vernet à Paris, ex Palais de la Méditerranée) qui a choisi le grand calme et l’air pur des alpages de la Haute Provence… Un lieu d’amour, de belle nature et d’amitié complice.
Carpaccio de betterave au comté © Alain Angenost
A 1678m, il l’a trouvé, le bonheur, aux portes du parc du Mercantour et le bouche-à-oreille a vite fonctionné. Cela fait sept ans déjà que Patrick Caron, savoyard, un peu ours, mais grand cœur, ex directeur de palace, et sa compagne Anne-Claude, se sont installés ici. Ils ont rénové les chambres, la terrasse et la salle du restaurant de ce chalet décoré de bois et de tissus orangés et en ont fait un gîte d’étape particulièrement douillet.
Pintade caramélisée au miel © Alain Angenost
Ils adorent le bien-manger et cuisinent, excellemment, crème de châtaigne avec foie gras poêlé aux épices, gigot d’agneau de pays aux petites pommes de terre sautées à l’ail, pintade de Challans caramélisée au miel des gorges du Cians, sans oublier les desserts d’Anne-Claude, dont le baba au rhum, le méli-mélo de pommes et poires aux épices ou encore les tartes maison, qui évoquent des souvenirs d’enfance. Ils cultivent leur potager, font leurs terrines et confitures eux mêmes, et savent choisir les produits locaux, comme la charcuterie exceptionnelle de Bernard Masson, le pain de Saint-Sauveur sur Tinée, les fromages des alpages, les vins de montagne dont la divine petite arvine de chez Germanier en Valais suisse et l’exquise mondeuse de chez Trosset en Savoie.
Méli-mélo de pommes et poires aux épices © Alain Angenost
Comble de ravissement pour les amateurs: une collection impressionnante de vieux whiskies artisanaux les attend. Le bonheur, c’est aussi, attablé sur la terrasse, de prendre son petit déjeuner pantagruélique et de voir descendre de la montagne les bergers, leurs chiens et leurs troupeaux lors de la transhumance: spectacle grandiose !
Le baba © Alain Angenost
Bref, voilà une adresse idéale pour ceux qui recherchent une vraie cuisine de montagne et une atmosphère déstressante, bien loin de tout le bling-bling côtier.
Etablissement tenu par un propriétaire très prétentieux ,
sens grand respect pour la clientèle .
repas surfait , accueil très désagréable .
vous propose des plats très simple avec un discours pourtant
très » gastro » .
beaucoup de suppléments non indiqué par la direction .
A ne pas conseiller .
Nous avons passé 4 jours merveilleux à la « Fripounière »gîte du col de la Couillole ! La table est délicieuse dans un décor simple et agréable préparée et servie par deux gentilles personnes Anne Claude et Béa .La situation de cet établissement nous a permis de faire de belles randonnées conseillées par le patron Patrick. Nous avons également apprécié le confort de la chambre pour un prix plus que raisonnable! Nous conseillons cet endroit à tous ceux qui apprécient le calme, la bonne cuisine et la nature. Merci à nos deux Hôtes et à bientôt sur les pistes de ski !!!!
“Cet hôte ne doit pas aimer les randonneurs !!”
Quelle belle adresse (bien localisée), alléchante (parait que la table est bonne, surtout la tarte à la myrtille) – que nous aurions aimé connaître davantage, pour y rester dormir lors d’une plus longue randonnée –
Le patron hautain et non-chalant ne nous a pas donnée l’envie de revenir !
Il a refusé de nous servir 2 sodas en terrasse alors qu’il y avait au max 10 couverts, en disant qu’il ne fait pas BAR –
C’est bien la première fois qu’on nous refuse à boire dans un gîte de montagne (à noter mois Juillet 30-35C° au soleil…!!)
Nous n’avions nullement l’intention de sortir notre picnic sur sa terrasse car nous avons du savoir-vivre et sommes aussi restaurateurs !
Peut-être des clients moins avertis auraient besoin qu’on leur précise que le picnic est interdit mais en aucun cas on REFUSE de servir à boire, surtout par temps caniculaire – c’est limite de la non-assistance à personne en danger !!
Pour un gîte de montagne ça ne donne pas une belle image…
Ah oui, paraitrait aussi que cet hôte a fait ses classes dans les grands établissements monégasques ?!
Cher Monsieur, si vous ne souhaitez recevoir que de la clientèle luxe, payez-vous une maison/table d’hôtes près du littoral et laissez la chance à des gens authentiques de tenir cette belle affaire qu’est La Fripounière !
Astuce pour la chambre : Tracez votre route et dormez plutôt à Beuil ou à Roubion !!
Nous avons passé quatre jours(14 personnes) au chalet pour un séjour Raquettes. Malgré le frois (-15°) certain matin et parfois un fort vent nous avons pu apprécier la qualité d’accueil, le confort sobre mais confortable de l’établissement, les repas simples mais copieux et délicieux(y compris les repas froids du midi).
Un soir après une discussion intéressante avec petite dégustation sur les vieux whiskies le prix annoncé (16 euros les 5 Cl) ne nous a pas permis de poursuivre la découverte. N’oublions pas les talents de magiciens du boss.
Etablissement à recommander
C’est effectivement un joli chalet où l’on dort et mange bien, pour un prix réellement raisonnable, qui devrait toutefois être plus élevé… Afin d’éviter quelques surprises.
Il y a -selon moi- un manque crucial de cohérence entre une belle prestation à 45 euros par personne incluant le diner (imposé, mais très bonne prestation des deux sympathiques dames officiant en cuisine), la nuit et le petit déjeuner (Il faut dire ce qui est, c’est « donné ») et les prestations annexes dont le prix n’est pas mis en évidence DU TOUT.
Cela donne l’impression malencontreuse et préjudiciable que le patron cherche à faire son chiffre sur les alcools.
Les whiskies sont effectivement excellents mais, si on se doute que le tarif affiché à l’entrée (3,50 euros) ne correspond pas à un Islay de 20 ans d’âge, on est en droit d’être averti (par la présentation d’une carte, par exemple) qu’il nous en coûtera 16 euros par verre.
Lorsque 3 verres dépassent le prix de la demi-pension, la moindre des choses est de prévenir sa clientèle, non?
De plus je trouve le patron un tantinet condescendant… Ceci ajouté à cela fait que mes amis et moi, après deux essais similaires, n’y retournerons plus. Et c’est bien dommage.