L’Alcazar, vous connaissez : cette belle brasserie créée par Terence Conran, dirigée par Michel Besmond, dont le cadre a été revu de bucolique façon par Laura Gonzalès, joue la perle contemporaine de son registre. Un lieu rive gauche comme un modèle, avec des idées de cuisine classique joliment revues, qu’apprécient galeristes voisins, écrivains et éditeurs. […]...
Le lieu est beau, signé du Moma Group, qui nous a récemment donné Manko, avenue Montaigne. Nous sommes là au 2e étage de la salle Pleyel, dans le goût Art déco, avec ses banquettes, moquettes, tons verts, mosaïques et tadelakt au bar, griffé Laura Gonzales. Le service fait le show, sous la houlette du déluré […]...
Il y a deux mois, ça démarrait en fanfare. Là, nous sommes dans une phase de calme après la tempête. Le service est comme apaisé, la cuisine sereine, les goûts aiguisés, la manière Acurio bien comprise par une équipe désormais rodée qui exécute la partition du maître avec adresse. Certes, le midi, c’est calme. Tant […]...
Cela se rode, s’avance en douceur, après avoir été maintes fois annoncé, retardé, finalement opéré, avec son cabaret fantasmagorique, son bar. Manko arrive, Manko est là, signé Benjamin Patou, Garou, Thierry Bégué et Gaston Acurio. Avec sa salle tout en recoins, sa cuisine ouverte, le travail assidu, entre parties crue et cuite, d’une équipe péruvienne […]...
Tout beau, tout neuf, tout bruyant, maître de son succès: le nouvel Alcazar est arrivé, avec sa superbe décoration bucolique, façon immense jardin d’hiver, griffée Laura Gonzalès, son service jeune et policé, ses vins choisis, sa cuisine soignée, ses plats à la fois franco-français ou joliment fusionnant: bref, il ressemble à l’ancien, mais il est […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.