C’est l’auberge du bon dieu, au cœur du vignoble alsacien, avec son appareil à colombage ancien, sa façade superbe et rénovée, ses pierres apparentes, sa neuve terrasse d’été, son cadre intérieur de winstub de village, ses fresques années 1950, le bon sourire de Lydie à l’accueil, l’hôtesse la plus souriante d’Alsace, la cuisine de Claude […]...
En lisière de Saverne, ce presque bout de monde, au pied de la montagne, avec ses vergers, face à la plaine d’Alsace, repose. Il y eut, jadis, l’enseigne en témoigne, des bains thermaux. On est dans l’auberge d’autrefois savamment entretenue. Mamie Fuchs s’affaire aux fleurs, tandis que Claude et son épouse gèrent la salle et […]...
Cette maison fleurie et à colombages, au cœur d’un bourg vigneron, pourrait résumer l’Alsace à elle seule. Je sais : il y a l’Ami Fritz à Ottrott, l’Etoile à Mittelhausen, le Burestubel à Pfulgriesheim, plus quelques autres que j’oublie. Mais ce Loejelgucker, avec son nom imprononçable et incompréhensible pour un non autochtone (littéralement : celui […]...
Voilà, pour les lecteurs de ce blog, la liste de nos lauréats de l’année en Alsace. La moisson est riche ! Chef de l’année: Bernard Leray Wihr au Val, La Nouvelle Auberge Depuis vingt ans, il refait le monde, à fleur de route. Bernard Leray est devenu un chef étincelant multipliant les allusions à ses […]...
Les Fuchs sont formidables! Ils ont réussi à garder l’esprit de leur maison de village, tout en jouant la cuisine du marché au jour le jour. Claude cuisine avec joliesse, tandis que Lydie accueille avec amour. Et cela fait quinze ans, déjà, que ça dure. Les plats du répertoire (presskopf, leverknepfle, käseknäpfle, choucroute de poissons), […]...
Il y a le village de vignerons sérieux, pomponné, avec son grand cru (l’Altenberg local, car il y a en deux autres, à Bergbieten et à Bergheim), son artisan star (Frédéric Mochel) et puis cette auberge qui trône comme une perle, rénovée sans en changer la nature par les Fuchs, présents là depuis 13 ans […]...
C’est une table éternelle, parfaite pour un adieu (provisoire) à un bel été alsacien. Une ancienne ferme du XVIIIe siècle, haute de murs, dans un beau village des débuts du vignoble. Nous sommes au Löjelgücker de Traenheim relancée de jolie façon par Claude Fuchs qui a modernisé son labo et son entrée côté cour, mais […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.