C’est « la » nouvelle de la station reine de la côte normande du moment: Jacques Aviègne a tiré sa révérence après quatre ans décennies de règne sur la brasserie à laquelle on l’a identifié. On venait pour sa grande gueule sympathique et bourrue, ses bons tuyaux, ses vins de derrière les fagots – notamment toute une […]...
On a failli le perdre. On l’a retrouvé avec bonheur. Il avait cédé sa maison deux ans durant à un jeune aubergiste incompétent. C’est, bien sûr, un coup de blues oublié. Voilà à nouveau Miocque chez lui, plus fortiche que jamais. Eructant, vitupérant, bisoutant à tout. Jacques Aviègne, dit Jacques le caractériel, le crâne glabre, […]...
Mea culpa pour ceux qui me lisent de près: si j’ai dit tout à l’heure que Michel Saggioro était mon homme de coeur à Deauville, je rappelle que Jacques Aviègne alias Miocque, l’est toujours, lui aussi (je lui tirais mon chapeau en ces termes ici même le 26/06). Disons que j’ai petit a et petit […]...
Il est mon homme de coeur à Deauville, râleur et bonne tête, unique et hénaurme, drôle comme un personnage d’Audiard dans la cuisine des « Tontons Flingueurs ». Si vous être quelque part entre Touques et Bénerville, ou pas loin des Planches, du Normandy et du Royal, n’hésitez pas à réserver votre table. Bien sûr, avec lui, […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.