Auberge de la Malate
« Besançon: l’auberge au vert »
Gilles Gualano, qui tenait une table à Letraz au bord du lac d‘Annecy, a repris cette auberge centenaire des bords de l’eau avec une once de modernisme et pas mal de gaîté. Il y a là une terrasse au vert pour l’été, un cadre sobre et sans chichi, une atmosphère complice. L’hiver, on mange devant la cheminée, en se fiant aux belles idées de l’ardoise du jour.
Œuf en meurette et salade, terrine de magret en ravigote, velouté de courge au comté, brochette de saint jacques aux pleurotes, tartare de filet de bœuf avec ses frites fraîches ou carré d’agneau avec son écrasée de pommes de terre aux champignons, tous issus de produits de qualité et réalisés avec sérieux par Vincent Ritz, natif de Colmar, qui a notamment travaillé aux Trois Poissons dans sa ville natale et au Rive Gauche à Vannes, sans omettre Baud à Bonne près d’Annemasse. En dessert, tarte Tatin, blanc-manger, « crème alpine » (fromage blanc, chantilly à la vanille) ou tiramisu font rêver les gourmands de sucré.
Déjeuner à midi serveurs serveuses très agréable tres bon Repas A Bientôt
Un rdv raté: une réservation faite à 15h pour le diner et on se retrouve porte close à 20h . Pourtant un N° de téléphone avait été laissé.
Lamentable