L'Auberge de Venise
« Auberge de Venise, Paris 14e: Enzo est revenu! »
Frédéric au service
Dans la série « ils sont ouverts en août et même tous les jours« , voilà l’Auberge de Venise. C’était le Dingo Bar, en 1924, au temps où Ernest Hemingway, Scott Fitzgerald et Gertrude Stein meublaient les rêves de « Paris est une fête« . C’est, c’était, depuis 1989, la demeure vénitienne, très néo, du chaleureux Enzo Volpe. Ce natif des Pouilles avait mis en gérance la maison qu’il promut auprès de la belle clientèle du quartier, de Marcel Jullian, qui rebaptisa ici l’osso bucco à Philippe Gloaguen, le fondateur du Routard, voisin et habitué de la première ailleurs. Le style a un peu vieilli, quoiqu’à vrai dire pas tant que ça.
Assiette d'antipasti © GP
Il y a la vraie gentillesse du service – celui de Frédéric, qui sourit naturellement-, sa promptitude, les mets authentiques, quoiqu’un peu chèrement tarifés. L’antipasti delle Nonna à 13,90 €, avec ses beignets de mozarella et ses légumes marinés, le carpaccio au parmesan (en fait du grana padano), à 16,50 €, les linguine alle vongole, où ceux-ci sont joliment disposés dans les coquilles autour des pâtes, à 18,90 € ou les tortelloni aux quatre fromages, un peu riches, et trop crémeux, avec la sauce au fromage bleu, à 14,90 €.
Tortellini aux quatre fromages © GP
On s’en veut de se faire un peu comptable, mais il y a tellement de trattorie alertes à petits prix dans Paris et même dans le quartier aujourd’hui, qu’on se dit qu’en n’y prenant garde, même avec une demi-chianti Granaio de Melini (à 18 €) sans grand relief, cela peut monter haut. Le cadre de brasserie néo-italienne, avec ses colonnades torsadées et ses tables nappées blanches peut plaire. Le tiramisu (à 9 € tout de même) est honnête dans le genre crémeux mais à peine. Et le café signé Lavazza est proposé en ristreto comme il se doit. Une demeure à suivre et à revoir.
Tiramisu © GP
Nous sommes allés à l’Auberge de Venise ds le 14 eme . Un des convives à commande des linguînis avec des gambas et la quelle surprise de trouver un morceau de fer d’un tampon à récurer. Imaginez la surprise !!!! Dons faire attention !!!
Je m’ennuie ce soir mais je ressens terriblement l’envie de faire part de mon fabuleux diner d’hier. Ce fut DIVIN ! Nous nous sommes faits chouchouté par le personnel. L’escalope présente dans mon frigo me fait déprimer maintenant …
Errant dans les rues de la capitale avec le ventre qui criait au secours, nous avons décidé de porter notre choix sur cet endroit qui présentait une file d’attente assez conséquente (ce qui est généralement bon signe), nous ne savions pas dans quoi nous nous sommes embarqués mais tout de suite le cadre idyllique à l’italienne nous a plongé en immersion. Un service au petit soin très souriant qui vous plonge a rester dans cet univers le plus longtemps possible. Nous avons opté pour l’entrecôte et sa sauce spéciale afin d’en avoir aussi sur le plan quantitatif et nous n’avons pas été déçus. L’addition fut un peu salée au final avec les vins mais à refaire très prochainement !
dans un restaurant qui a vocation à faire de la bonne cuisine, on s’apercoit que le restaurant est surfait. le rapport qualité prix est déraisonnable, les quantités servies indigentes et une cuisine tres banale. On se demande comment tant de guides gastronomiques le recommandent, ca donne à réfléchir sur la façon dont les guides gastronomiques jugent les restaurants. Pour près de 45€, on a droit à un plat servi maigrement et un dessert ordinaire (10€ en moyenne) avec de l’eau en boisson et un café tout de même. Adresse à oublier bien vite.
L’Auberge de Venise est un coin – ou plutôt deux,depuis l’ouverture du deuxième restaurant-d’Italie en plein Paris avec une gentillesse toute latine dans l’accueil et un grand choix de plats traditionnels et typiques.De l’ossobuco, avec la petite note secrète qui lui donne un parfum particulier,au saumon cuit à point , des pâtes aux garnitures les plus diverses aux desserts maison, tout est frais et présenté avec goût et souci du détail.A recommander si l’on veut rêver pour un moment d’être de l’autre côté des Alpes.
Pour confirmer mes dires avec la nouvelle adresse de l’auberge de venise à bastille …
http://www.lefigaro.fr/sortir-paris/2012/12/04/03013-20121204ARTFIG00599-l-auberge-de-venise.php
Je suis d’accord avec Romain sur la qualité plus que médiocre de la nourriture servie dans ce restaurant. Beaucoup de chichis, des nappes blanches et de la sauce pour les pâtes indigne si elle est réellement « maison ». Idem pour les desserts. Mais c’est vrai, le personnel est gentil…
Et bien tout les desserts sont fait maison à L auberge de venise .
Enzo à donné la recette de la mousse au chocolat , et de sa fameuse panna cotta a ma femme .
Apres 16 ans de fidélite , mais cela ne suffit pas pour obtenir celle du Tiramisu si bon et don la recette famigliale peut etre divulguer au bout de 20 ans de fidélité., enfin on l’éspére !!!!!!!!!!!!
Tout les desserts sont fait maison sauf les glaces qui proviennent d’un Artisan Maitre glacier Italien de la rue Montorgueil qui a obtenu le premier prix européen en 2009 Rino Gaeta de Deliziefolie .
Il n’y a qu’Enzo tres documenté et surtout passioné pour trouver des adresses et des fournisseurs comme cela .
Mr Romain je ne sais pas le probléme que vous avez avec l auberge de venise allez plutot rue Montorgueil deguster les glaces servies et preparées comme à l’auberge de façon artisanal et a l’italienne .
Effectivement je suis voisin du restaurant et je confirme mon propos précédent, la cuisine de ce restaurant ne rime pas avec fraîcheur, je vous invite juste à vous risquer sur les desserts proposés à la carte qui viennent tout droit de l’industrie culinaire dédiée aux restaurateurs parisiens en manque d’inspiration pour réaliser eux memes leurs desserts maisons…
Je connais l Auberge De Venise depuis 15 ans et je me réjouis du Retour du Maitre des lieux qui apres avoir donner en Gérance L auberge pendant 7 ans a repris la cuisine de L auberge .
Je ne comprend pas l article de Mr Romain qui doit surement être un copropriétaire (il a acces a la cour de l immeuble )qui supporte mal les bruits et les Poubelles des commerces et souhaiterais en voir beaucoup moins ou encore mieux pas du tout .
En tout cas Enzo qui depuis juin est en cuisine 10 heures par jour ne mérite pas ce commentaire d autant plus que sa cuisine est Traditionnelle et entièrement faites Maison comme les Ravioli du Jour, l ossobuco ou encore les linguine alle vongole (Palourdes)qu’il achètes chez voisins du Dôme dont je suis également client fidele et qui selon moi est La Poissonneries plus belle de Paris en qualité,service et choix.
Quant a l émission d envoyer speciale d’y il a 2 ans ,
Il faut Bien lire l article de Mr Gilles Pudlouski,fin gourmet et reconnue par ces pères .
Enzo est Revenu!!!!!!!! donc oublier l ancienne gérance et revenez redécouvrir la vrai cuisine Italienne est récompenser la passion d’un chef Enzo Volpe récompenser déjà par d autres critiques gastronomiques ‘Le magazine du Monde du 24 septembre ‘ou encore’ Le Point du 29 septembre’
Et je me félicite que ce soit votre guide que je suis depuis une vie qui le 8 aout a annoncer le Grand Retour du Gout ,du professionnalisme de la passion Du chef Enzo .C’est d ailleurs comme cela que je su du retour du Enzo.
Bravo Enzo !!!! Trois articles gastronomiques dans des quotidiens Nationaux en moins de 3 mois ,voila ta reconaissance.
Bonjour chez Gilles,
assidu de votre blog, je ne pouvais que réagir a votre article sur l’auberge de venise. En effet, etant voisin de ce restaurant, je le connais un tout petit peu pour me permettre de vous dire que la fraicheur n’est pas le maitre mot du restaurant. Ainsi, beaucoup de plats viennent tout droit des rayons d’un supermarché pour restaurateur, il suffit juste de voir a quoi ressemble les poubelles dans la cour du restaurant. D’ailleurs, vous n’a pu manquer récemment le reportage sur envoye special concernant les arnaques de la restauration et dans lequel on pouvait voir un journaliste devant l’auberge de venise tester les poubelles du restaurant et y trouver des emballages de plat déjà préparé. Alors, le sourire du maitre des lieux ne me fera pas passer le pilule de ce type de mauvais genre de gastronomie.