La Clairière
« Le bouchon de Jean-Charles (Paris 9e) »
A Lyon, cela s’appelle un bouchon. A Paris, c’est un café, un bistrot, un bar à vin, une brasserie, bref un lieu d’angle qui cherche sa définition entre plusieurs voies et plusieurs styles. Face à la Poste Taitbout, on vient y goûter le beaujolais de Chermette, croquer le saucisson du moment, grignoter une tartine de fromage affiné, prendre un café servi bien serré en « ristreto » sur le pouce. A moins de choisir d’y déjeuner d’une andouillette châtillonnaise, d’une belle entrecôte persillée, d’un tartare cru ou poêlé, d’un rognon de veau ou d’une belle marmite de tripes.
Jean-Charles Amsalhem, qui fut jadis traiteur dans le 20e, avenue Gambetta, a repris cet endroit d’allure anodine avec le sourire, lui redonnant une âme. gourmande L’ardoise change chaque jour. Mais l’esprit bouchon demeure. Et le lieu, ses petits plats bourgeois (exquis jarret de veau à l’estouffade), ses terrines, ses crus au verre, frais et fruités comme l’onde, font simplement chaud au coeur.
des que nous sommes a paris chez jean charles .un très bon cuistot et formidable patissier ..
Vraiment bien. Mais chut !
Tout le quartier s’y précipite déjà.
Qui plus est il n’est pas question, dans cette critique, des pâtisseries.
Et pourtant elles sont incroyables.
bonne cuisine genereuse et de qualite…
tres bien accueil et cuisine et le tout a prix raisonnable a bientot …