Four Seasons Grand Hotel du Cap Ferrat

Façade © GP

Terrasse du Cap © GP

C’est toujours l‘un des plus beaux hôtels du monde avec sa situation de sentinelle ou de vigie du Cap Ferrat face à la grande bleue, ses jardins luxuriants, sa végétation exotique en dédale, façon labyinthe et escalier, qu’on découvre en descendant, à pied ou en funiculaire, vers le Club Dauphin. Un lieu unique ? Il y a de ça. Voilà bien la perle de la Riviera française, avec ses tables exquises, désormais gouvernées par Yoric Tièche, sa bannière Four Seasons, qui insiste sur le service au plus que parfait, avec ce personnel, qui, entre femmes de chambre, concierges, maîtres d’hôtel et gardiens de piscine, vous connaissent tous par votre nom.

Le bar © GP

Au salon © GP

Vue sur mer depuis les jardins du Club Dauphin © GP

Cette maison est bien un mythe, à l’image de Pierre Gruneberg, le maître nageur légendaire, qui a connu le monde des stars, des Beatles à Belmondo, de Chaplin à vous et moi. Tout le monde ici se plie en quatre pour votre bonheur et fait de vous un hôte privilégié. On pourrait vanter la déco pleine de gaîté dans les tons blancs et beiges, revue avec goût et sobriété par le ciseleur Pierre-Yves Rochon, les salles de bain en marbre gris ou vert, les dressings et tiroirs en acajou ou ébène, les salons clairs, ouvrant sur le dehors, avec leurs lustres de Murano, leur rotonde griffée Eiffel, leur bronze de Tisserand, leur table précieuse en cristal Lalique : tout ici tient du chef d’oeuvre assumé. Quoique rien ne pèse.

Une chambre © GP

Vue de la suite Cocteau © GP

Vue sur les jardins depuis un balcon © GP

Un séjour ressemble ici à un rêve. De la suite Cocteau, au dernier étage, on embrasse la mer et la côte d’un trait, avec les jardins qui mènent patiemment vers le large. Mais toutes les chambres ont leur charme. Et les couloirs feutrés, l’ascenseur stylisé, les sous-sol qui mènent au Cap et à la Véranda, les deux tables maison, comme à la piscine, sont une invite à une aventure très domestiquée. Ici, Côte d’Azur, Riviera ou dolce farniente mérite encore leurs si addictives appellations…

Vue du dernier étage © GP

Transats en fin de journée  © GP

La piscine © GP