6

Lazare

« Paris (8e): le Lazare tient la forme »

Un article plus récent sur le même sujet est disponible sur notre site, vous pouvez le retrouver en cliquant ici

Article du 24 mai 2014
Le service © GP

Le service © GP

Neuf mois pile après son ouverture, la brasserie d’Eric Fréchon tient la forme. Le service a le sourire, les clients sont heureux, les vins au verre ont de la patte (comme ce château Le Puy côtes de francs, servi en magnum et qui se boit à la régalade) et les plats filent avec bonheur. Vous voulez langer canaille dans un lieu chic et relax? Ou l’inverse? Tout est possible.

Maquereaux au vin blanc © GP

Maquereaux au vin blanc © GP

Les exquis calamars, taillés comme des spaghettis, servis en cocotte avec de l’ail, du piment d’Espelette du chorizo font un tabac justifié. Et le reste est à l’unisson.

Calamars au piment d'Espelette © GP

Calamars au piment d’Espelette © GP

Le céleri rémoulade au king crabe, les maquereaux au vin blanc servi en terrine, le merlu aux câpres, le vittelo tonnato, la poitrine de cochon avec sa choucroute de navets (qu’on nomme suri ruewe en Alsace) ont du punch, du coffre, du caractère.

Poitrine de cochon © GP

Poitrine de cochon © GP

Bref, vous voulez vous faire plaisir sans prise de tête: découvrez – car, contrairement une rumeur – on peut réserver et il y a de la place, dans ce lieu mode, savoureux et gai qui est la « brasserie de l’année » du Pudlo 2014. Bon appétit à Paris!

Paris-Deauville © GP

Paris-Deauville © GP

Lazare

gare Saint-Lazare - rue Intérieure
Paris 8e
Tél. 01 44 90 80 80
Carte : 38-65 €
Fermeture hebdo. : Ouvert tous les jours
Métro(s) proche(s) : Saint-Lazare
Site: www.lazare-paris.fr
Plat du jour: 18 €

A propos de cet article

Publié le 24 mai 2014 par

Lazare” : 6 avis

  • Plh

    Des plats bien réalisés et une ambiance chaleureuse et accueillante.

  • Christine P

    Recommandé par des copains plutôt « fines gueules », j’y ai déjeuné ce jour (17 mai 2016)…. Notre table pré réservée était occupée à notre arrivée. Après quelques minutes nous avons été installées par un personnel accueillant et très affable durant tout le service d’ailleurs ! Seul hic à notre avis, le plat du jour, une fricassée de poulet, n’était certainement pas un poulet fermier et ça c’est impardonnable !

  • Milla Yago

    Bonjour,
    Le Lazare lundi 04 janvier 2016 12h01, comment dire … et bien!!
    Les ravages des fêtes se sont fait sentir ce jour-là et je n’y retournerai pas.
    Arrivées à 12h01 nous étions deux, fort décidés à se faire plaisir en attendant notre train une envie de bulle de calme et de beauté. dès notre entrée une jeune femme nous accueille agréablement et nous demande de patienter le temps qu’elle prépare le petit salon jusque-là bien mais devant nous une grande table en bois à chaises haute était occupée par l’équipe cuisine et serveur du matin surement, c’était la pause compréhensible. Sauf que la table était comme un petit dej de famille nombreuse avec le personnel avachi, parlant fort portable en action, ce n’est peut-être pas l’endroit pour faire cela, pour voir ce spectacle je vais à Burger King. Ce qui nous à frappés en entrant aussi c’est l’odeur non de bonne cuisine ni de bons café mais de vinasse de bière de comptoir de gare (ayant travaillé en bar de gare je peux vous dire que c etait parfaitement reconnaissable et désagréable ). Puis nous nous asseyons au petit salon en espérant que l impression du début sera effacée, nous choisissons nos plats un premier serveur passe en nous regardant mais ne s’arrête pas (3 ou 4 tables au max étaient occupées), un deuxième passe me regarde ne fait pas attention à la dame au comptoir et bing!!! coup d’épaule dans la mâchoire de cette pauvre cliente bien entendu excuses etc.. un autre serveur passe, ralentit et nous demande de patienter 2 ou 3 minutes que faire d’autre, nous lui signalons que nous devions prendre un train dans 1h15, puis il part toujours sans prendre nos commandes.
    Notre surprise fut grande en entendant les recommandations de la responsable « sourirez aux clients, soigner le service , soyez à l’écoute du client etc.. » je me lève me manifeste pour qu ils nous vois tous help !! mais elle me scan du regard sans s’arrêter et continue sa précieuse réunion qui manifestement ne sert strictement à rien, 12h15 est ce le moment de faire une réunion pile dans l’entrée du Lazare curieux.
    J’ai quelques suggestions : lavés, nettoyés, désodorisés les lieux, pour les pauses et autres réunions par un paravent condamner le petit salon pendant ces actions, parlez doucement mettez un ou une serveuse pour s’occuper des clients bref un service normale merci. Nous sommes partis,( seule la demoiselle de l accueil s’est confondus en excuses), résultat une salade chez class croute un siege au chaud au starbuck et des gens polis aimable . En espérant changer d’avis sur l’établissement.

  • conquet marie-françoise

    soirée très rèussie et goûteuse.à retenir.

  • J’aime beaucoup cet endroit, il ne faut pas s’attendre à de la surprise mais à des plats exécutés dans la règle de l’art, on y passe vraiment un bon moment.

  • Michele Dupont

    Saint Lazare, priez pour eux ! Au premier étage de la gare Saint-Lazare, se trouve le restaurant Lazare. Décor sympa, on a envie de s’y poser pour attendre son train ou pour passer un moment de détente dès lors qu’une chaise se présente. Accueil au sourire grinçant, puis la carte finit par tomber. Consternation en constatant que des plats vont jusqu’à presque 30 euros alors qu’ils paraissent si simples, à l’exemple d’une andouillette grillée-frites… Il faut dire que le chef étoilé Eric Fréchon, un Meilleur Ouvrier de France (qui officie quotidiennement à l’hôtel Bristol, à Paris) est passé par là en mettant sa griffe de star. Etonnant pour ce cuisinier qui normalement va dans le bon sens du bon, du beau et à prix presque doux. A trois, à l’heure du déjeuner, – avec un assis sur un tabouret- entraîne à une gentille addition : 98 euros. Quel chèque restaurant d’une petite société pourrait se payer le luxe en semaine ? La clientèle n’a pas l’air « cadre sup » ? Seuls les sociétés et comités d’entreprises seraient-ils admis à la pause déjeuner dans ce lieu au demeurant, bruyant…
    Parlons vrai. La carte : un hamburger « à cheval » a été demandé « cru » mais pas « tartare » -bien qu’il soit lui aussi à la carte-. Celui là arrive rond beaucoup trop cuit. L’œuf est triste, aussi. Le bacon a un gras double si froid et si débordant blanc de chaque côté qu’on se le prend en travers de la gorge. Là, pour 22 euros, Mac Do aurait fait tellement mieux !
    On demande à voir le chef… Le chef ? Quel chef ? La question prend la forme d’une in-con-grui-té.
    Saint-Lazare ne fut-il pas un saint qui protégea les lépreux ? Alors qu’il le reste en continuant à prier pour eux. Où : cachez ce saint que l’on ne pourrait voir…

Et vous, qu'en avez-vous pensé ? Donnez-nous votre avis !

Lazare