Perlimpinpin

Au bar © GP

Le petit temple du tartare, c’est Perlimpinpin, créé par une bande de joyeux drilles, emmenés par Michaël Bokobsa et Dimitri Djenic, qui en propose douze différents en trois tailles variées avec des viandes de qualité (issues de la maison Prosper) taillées au couteau, des frites maison croustillantes (cuites à la graisse de canard) et plein de produits frais, comme la salade du jour façon mesclun fort bien assaisonnée, comme le reste.

Les hors d’oeuvre © GP

On a goûté le classique tartare français (échalotes, sauce cocktail, persil, cornichons et câpres) et le forestier aux cèpes (et tabasco), mais l’Oriental (avec boulgour), l’Italien (avec tomates confites, parmesan, huile d’olive) et quelques autres, comme le poké, le grec, le niçois, le mexicain ou le romesco, vous attendent – on aimerait bien une version belge avec mayo, façon « filet américain ».

Tartare classique et frites © GP

On y ajoute les frais hors d’œuvre avec l’œuf parfait et crème de truffe, la croquette au Saint Marcelin et la burrata crémeuse, plus, en dessert, le tiramisu, spéculos et nocciolata, le fondant au chocolat, le fromage blanc, agrémenté de pâte à spéculos ou la panna cotta. Le bourgueil les Alouettes du domaine de la Chanteleuserie, servi au verre, passe là dessus avec aise.

Tiramisu © GP