L'Embarcadère
« Blois: les plaisirs des bords de Loire »
L’équipe de l’embarcadère © Maurice Rougemont
Moules frites, marmite de poissons aux épices Maya, bar entier farci aux légumes sauce vierge et friture d’éperlans avec sa crème battue aux herbes sont quelques unes des joyeusetés marines que font goûter Franck Daubignard et sa chef, la jeune Elise Pescher, qui a notamment travaillé chez Roellinger à Cancale, dans cette belle auberge de mariniers comme avant.
Friture d’éperlans et vol au vent de ris et rognon de veau © Maurice Rougemont
Franck, dont le beau-frère, Gilles Seiler à Colmar, tient l’exquis Trois Poissons, quai de la Poissonnerie, joue ici une carte légère avec doigté. On goûte aussi chez lui des plaisirs terriens et bourgeois, comme le riche vol au vent de ris et rognons de veau aux pleurotes. Le lieu a le chic boisé. Les baies vitrées lorgnent la Loire. Les prix sont doux, les produits frais, le salades légères : que demandez de plus à la vie ?
Elise Pescher © Maurice Rougemont
Accueil chaleureux avec une point de vue très agréable sur la Loire. La salle s’est offerte une restauration et un agrandissement mais reste cosy, il ne faut pas se priver de ce restaurant même si vous êtes accompagné d’enfants . Et pour finir car il s’agit quand même d’un resto que cela soit à la carte ou au menu des produits frais et cuisinés avec goût et générosité vous seront servis et ne vous feront pas regretter la pizzeria du centre ville. La note est juste rapport qualité prix + panorama. Je recommande ! ⭐️⭐️⭐️⭐️ Une Normande adoptée par la Région Parisienne.
Excellent resto, acceuil sympa, a prendre l ardoise de poisson
Bonjour,
Je fréquente l’Embarcadère régulièrement depuis 10 ans et La cuisine est à chaque fois de très bonne tenue. La gentillesse de la patronne et du service est à l’identique et le cadre magnifique de la vue sur la Loire…..
Que des bonnes surprises!
Bonjour,
Pour avoir testé ce restaurant un soir de la semaine dernière, j’ai été assez déçu non pas de la qualité des plats mais du rapport prix/quantité dans l’assiette.
J’ai même un de mes convives qui a été contraint de prendre un second plat tellement le premier n’avait pas suffit.