Café Pouchkine
« Paris 8e : les folies du Café Pouchkine »
Tout neuf, mais déjà ultra classique, avec sa déco XVIIIe sur deux étages, ses mets franco-russes qui ressuscitent la grande Russie d’Anna Karénine et de Guerre et Paix, son service policé, ses jeunes filles russes à l’accueil, sa vodka est estampillée Beluga, son caviar au sigle maison, mais produit en France, ses plats comme à Moscou : c’est le Café Pouchkine, que nous avons évoqué lors de son lancement.
La maison se rode, le service se peaufine, la cuisine s’affine, sous la houlette du chef Yohann Marraccini, qui veille au grain. Au programme: tartare de hareng mimosa, bortsch de betteraves, saint-pierre, truffes et champignons, sandre au beurre fumé, saint-jacques aux endives et pastrami, côtelette Pojarski de veau avec ses tagliatelle de légumes. Bref, une partition sans fausse note.
On vient ici à tout heure. La queue s’allonge pour l’heure du goûter. Il faut dire que les douceurs (Napoléon, Medovic, crèpes Suzette, glaces Forêt Noire) sont démoniaques. Longue vie au Café Pouchkine!
Mon cher Gilles,
Je crois que je l’avais déjà corrigé voilà peu, mais tu « récidives », le nom du chef est mal écrit : c’est Yohann Marraccini !
apparemment la critique Recente de F Simon concernant ce rest ne sont pas les memes que vous !! le millefeuille entre autre n’ a pas la qualité attendu ! Alors qui croire ??
Quel magicien ce GP ! Il nous fait prendre des crêpes Suzette pour une Forêt Noire !