Le Royal Palm

Sous les palmiers, la plage © GP

Vue sur la mer © GP

Un lieu, un mythe, une légende: voilà un palace qui renaît, se transforme sans se brader, se perfectionne sans se hâter. Il ne date que de 1985, mais a su faire sa mue avec chic depuis trente ans. Revu et quasi reconstruit à l’identique il y a trois ans, le Royal Palm, perle du groupe Beachcomber, où séjournent ou séjournèrent les grands de ce monde et les princes du show biz, comme les princes tout court, a su rester fidèle à son image.

La nouvelle piscine © GP

C’était « le Royal Calme » du temps de Jean-Pierre Chaumard, puis de Jacques Silvant, son adjoint devenu son successeur. Cela le demeure, avec une once de jeunesse sans grain de folie, sous la houlette de Grégory Coquet, son nouveau directeur, natif d’ici, fils d’imprimeur de Port-Louis, formé en Suisse, passé au Crillon à Paris, qu’on connut à la Maison d’Eté.

Grégory Coquet © GP

Accueil au bar plage © GP

Sous sa gouverne, un personnel trié sur le volet concourt toujours pour la palme du plus beau service du monde sur une plage magique. Les palmiers sont là, qui justifient le nom du lieu. Une neuve piscine de 25 mètres vient de s’ajouter à la plus modeste, mais si charmeuse, faisant face à la mer. On prend le temps de choisir : piscine ou plage, grand ou petit bassin, ou encore spa ou salle de gym, sans omettre tous les plaisirs nautiques… Il y aura aussi bientôt un golf, ce sera à l’automne prochain.

Chambre d’une suite © GP

Salon d’une suite © GP

Ce lieu magique concentre tous les atouts: une situation exceptionnelle, un confort parfait, mariant, dans les 69 suites, le fonctionnel et le traditionnel, jouant la sobriété, avec un soupçon d’exotisme. Il y a, bien sûr, le beau jardin ombragé, les boutiques chics, les tables maison: le Bar-Plage, comme un phare gourmand et ludique face à la mer, la neuve table italienne dite « la Brezza », qui a pris la place de l’ancien Natureaty, enfin la Goélette, table gourmande de haute volée, jouant la fusion franco-mauritienne, le tout sous la houlette du MOF Michel de Mattéis, le Bocuse de l’île, qui veille à la mise en scène gourmande de ce lieu hors norme.

Service des sorbets sur la plage © GP

Vue de la piscine © GP

Ah, un séjour ou plusieurs au Royal Palm!

Michel de Matteis et le service à l’accueil © GP

Sur la plage © GP