Merci Bernard ! C’est à Bernard Pivot et à ses vieux potes du « Pcpc » (« priorité à la croûte pas chère« ), un club d’amis déjà rencontré aux Marches, et qui se rétrécit un brin, que je dois cette bonne adresse discrète. Jadis, mon cher complice Robert Sabatier en était, qui me racontait ses petites bouffes homériques […]...
« Plus français que les Français » : c’est cela même que seront les juifs de l’Est de la France à l’aube de l’autre siècle. Et que démontre Philippe Alexandre qui rend hommage à sa famille juive lorraine, originaire de Francfort puis enracinée en Moselle à Forbach, ayant fui les Prussiens après la guerre de 1870 (son […]...
Une maison qui vous remet les idées en place, les yeux en face des trous, quand les élucubrations de la mode vous fatiguent et les cadres contemporains façon snack de cantine avec serviette en papier vous navrent: voilà le moment de retourner aux Lyonnais. Un nouveau chef, le jeune Xavier Boireau, venu du Relais Plaza, […]...
Ils étaient là, tous, en rangs débridés, les derniers hussards de la République des Lettres. Michel Déon, auquel Christian Millau, président du jury adressa un « coup de shako » pour sa préface à la correspondance Chardonne/Morand, Franz Barthelt, le lauréat, mais aussi FOG, PPDA, Marc Lambron, François Cérésa, le directeur de « Service Littéraire », Claude Cabanes, le […]...
Voilà quelqu’un avec qui je pourrais difficilement être objectif. Il m’a présenté Franz-Olivier Giesbert il y a trois décennies. Et je lui ai sauvé la mise, avec une interview dans les Nouvelles Littéraires, dont le titre dit tout: « Comment on a voulu me démissionner ». C’était au temps du gouvernement Bérégovoy, alors que ses grincements de […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.