Hôtel le Sauvage
« Besançon: un Sauvage très civilisé »
Ce fut un couvent des Minimes au Moyen-Age, puis une ancienne gendarmerie, puis une maison de maître au XVIIIe avant que s’y installent des soeurs Clarisse au XIXe. Véronique et Philippe Mathieu, passionnés d’art, rénovateurs de vieilles pierres, à qui ont doit le Charles Quint il y a une décennie, ont aménagé cette demeure à la fois discrète et perchée , offrant vue imprenable sur Besançon et la vallée du Doubs, en hôtel de charme. 24 chambres dont deux suites, mélangeant des meubles modernes et anciens, jouant le contemporain et le baroque. Les Mathieu qui étaient antiquaires dans une autre vie ont joué l’authenticité au moins dans les parties communes. Beaucoup de charme se cache derrière ces murs chargés d’histoire.
Accueil sincère et chaleureux- Aménagement réussi et très joli cadre.