Julius Meinl

L'entrée © GP

C’est la Grande Epicerie en plus chic (que celle du Bon Marché – veux-je dire). C’est un Fauchon autrichien, un cousin viennois de Peck, le milanais, de Dallmayer, le munichois, une sorte d’empire de bouche sur le Graben, avec ses belles vitrines, ses rayonnages de douceurs, de pâtes, d’huiles, de condiments, de vinaigres, d’aigre-doux, de confitures, de conserves, de terrines, de gâteaux en tout genre. On vient là pour les pannetone, les sablés, les kougelhopfs, les chocolats.

Ambiance au premier étage © GP

Il y aussi le restaurant chic, avec ses recoins au premier étage, plus le coin bar qui jouxte la rue depuis la baie vitrée au rez de chaussée. Sans omettre les fruits frais, les fromages, les charcuteries… Bref, on n’en finit jamais avec Julius Meinl, roi aussi du café, dont la richesse, la variété, la profusion donne le tournis. Un traiteur, un épicier, un confiseur, un roi de l’agrume et un empereur de bouche, bref, tout cela, ensemble, dans une seule échoppe immense: voilà ce Fauchon à la mode du Graben…

Vinaigres chez Julius Meinl © GP