Georges Schmitt © GP
Année après année, entre décembre et janvier, Georges Schmitt annonce la vente de son établissement. Mais le Bocuse lorrain est encore là, vert, vivant, vibrant, vaillant. Cet autodidacte de choc, qui fut herboriste et antiquaire dans une vie antérieure, avant de connaître l’émoi de la grande cuisine, grâce à Jean-Claude Schneider de Saint-Walfrid à Sarreguemines […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.