Sept
« Toulouse : la modernité du Sept »
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Si le cassoulet vous lasse, le confit vous navre et le magret vous fatigue, venez chez Guillaume Monboisse. Ce Toulousain voyageur de 28 ans, qui a racheté la maison où il fait ses classes, sous l’aile de Benoît Cantalloube, l’a modernisée, faisant de cette « toulousaine », faisant face à l’église Saint-Sernin, un petit temple contemporain de la cuisine moderne.
Il a travaillé à Hong-Kong, à Bruxelles, mais aussi chez Dan Bessoudo à Ventabren, imagine des alliances singulières à partir de produits apparemment opposés, comme avec la langoustine juste rôtie au mirin et caramel sureau au corail d’oursin, la lotte aux fèves et haddock fumé ou le tourteau aux pommes et kalamansi, comme le saint-pierre, fenouil et quinoa.
On ajoute le bœuf de l’Aubrac glacé au poivre de Madagascar, avec chou-rave et betterave ou la poire aux cacahuètes et mélilot, jolis à voir, surprenants à découvrir, savoureux à déguster.