Ultima Gstaad
« Gstaad : le luxe ultime de l’Ultima »
La façade © GP
C’est la dernière folie hôtelière de Gstaad, sa dernière perle dans trois chalets rassemblés, combinant 17 suites et appartements façon résidences de tailles variées (de 50 à 250 m2), imaginée par le cabinet d’architecture local G. Hauswirt, sur l’un des derniers terrains disponibles de cette station huppée, pour un duo de jeunes entrepreneurs franco-suisses Byron Baciocchi et Max-Hervé George. Ces deux fous d’hôtellerie, novices en la matière, qui devraient bien vite doubler la mise, avec un neuf maillon à Crans-Montana, ont misé ici sur le luxe absolu.
Le bar © GP
Le piano pop du lobby © GP
L’entrée © GP
Matériaux d’exception, tissus rares, bois précieux, marbre concourent à une fête de l’oeil. Comme les oeuvres d’art contemporaines disséminées dans tout l’hôtel, à commencer par ce piano peint très pop qui orne la ludique réception. Le lieu est gai, chaleureux, l’offre de restauration, à table (à l’enseigne du Lobby Lounge et de la Duchessa), comme en chambre, est signée Georges Blanc, qui n’oublie pas de faire goûter ses classiques dédiés à la volaille. On y reviendra.
Une chambre © GP
Balcon d’une suite © GP
Salon d’une résidence © GP
Le plus de la maison : un spa grand genre, griffé La Prairie, avec des soins de massage splendides et des produits cosmétiques de haute tenue. On n’oublie pas la grande et sculpturale piscine intérieure, les saunas, jaccuzi, lieux de repos, avec la « bibliothèque à serviettes » en marbre, évidemment. Plus, bien sûr – on est en Suisse- une clinique à demeure dédiée au rajeunissement de la peau. Bref, toute une panoplie douce qui permet de passer ici ses journées et ses nuits alors que les pistes de Gstaad sont toutes proches…
Piscine et coins de repos © GP
L’invite au Spa © GP
La bibliothèque à serviettes © GP
Accueil au spa © GP
En effet cet hôtel est pour moi le luxe, le vrai qui n’est pas ostentatoire. De plus la table est au niveau de cet établissement, avec la carte concoctée par Georges Blanc