Le Petit Lutétia
« Paris 6e : le succès du Petit Lutétia »
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Ambiance © GP
Voilà une brasserie qui menait sa vie pépère et qui, mine de rien, draine discrètement une des plus belles clientèles de Paris. Jean-Louis Costes et son associé, gérant du lieu, Christophe Ciamos, ont gardé ce qui fut un bouillon Art nouveau, millésimé 1912, dans son jus. Les banquettes ont été changées, les tables sont bien nappées, le service sourit, est vif, rapide, efficace. Et la cuisine dans tout cela ? Costienne, c’est à dire, fine, franche, malicieuse, avec ce mélange de tradition et de fusion bien senti, qui fait le succès de l’Hôtel Costes et des ses épigones/annexes.
Burrata et aubergine © GP
Tartare de thon épicé et avocat, burrata et aubergine grillée, laitue avocat king crabe (« avec beaucoup de crabe » à 38 €), « putain » d’entrecôte (c’est la carte qui l’annonce ainsi), sole meunière, risotto de truffes, spaghetti au homard « spicy », rigatoni de l’hôtel (vous avez compris lequel), historique confit de canard maison, moelleux et croustillant à la fois, c’est à dire parfait, avec ses pommes sautées et dorées, foie de veau rosé (un peu carbonisé sur le dessus), tartare « brasserie », avec beaucoup de câpres, onglet à l’échalote ou steak au poivre « extra » font simplement du bien par où ils passent.
Confit de canard et pommes sautées © GP
Tartare brasserie © GP
Les vins au verre (grand vin de bordeaux de Reignac d’Yves Vatelot à 10 €, sancerre de Vacheron au même tarif, morgon de Lapierre à 9€) sont bien choisis. Les desserts (tarte fine aux pommes sauce caramel, pavlova aux fruits rouges) sont rassurants. Les prix ne font pas de cadeaux, mais ne volent aucunement le monde. D’ailleurs, tout le monde est ravi, revient… Cela s’appelle faire un succès sans tapage.
Pavlova aux fruits rouges © GP
Tarte fine aux pommes © GP
Mal installé, mal servi (apéritif à peine servi que la plat arrive déjà), morilles masquées par épices surabondants. Service faussement cordial et grosse impression de il faut aller vite, vite, vite, vite pour faire tourner les tables. Grosse déception !
J’ai fréquenté cet établissement il y a une dizaine d’années
Excellent !!les prix sont justifiés !! Qualité et service irréprochable.
Dans la vie il y a des hauts et malheureusement des bas
Il faut se donner les moyens !!
Concernant les prix. : toutes peines réglâmes salaires !!!
C’est un bonheur de dîner dans cette brasserie : les plats régalent, les vins sont délicieux, l’ambiance redonne le moral … bref pas de séjour à Paris sans y passer une soirée !! Même les amis sont conquis. Continuez et merci pour tout. AMD
Pour la seconde fois en quelque mois, j’ai été déçue, et, invitée, n’ai pas osé signaler mes critiques : la sauce au poivre du steack au poivre semblait être une sauce industrielle : pas assez de poivre, ni de crème fraiche, absence totale d’une trace de flambage à l’alcool (cognac par exemple) mais une sorte de féculent collant le tout !
C’est infiniment regrettable car la viande était excellente, en rapport avec le prix du plat (38 euros), les pommes de terre en accompagnement, appelées frites, coupées au couteau, étaient réchauffées. Au dessert, l’île de la Tentation (île flottante) était retombée et flasque dans la sauce sans vanille. Plutôt désastreux au final
Joli décor, bonne cuisine, assez snob, étouffant l’été, et très bruyant en toutes saisons… les radis frais et le pain sont délicieux, le vin bien suggéré, le directeur lunatique : parfois charmant, parfois irritable.
Il faut être réaliste. Bon restaurant,ouvert le dimanche. Les prix sont raisonnables. Le personnel fort attentif.
N’en demandons pas plus.
Bien….mais un peu cher pour moi , c’est bien dommage!
Et donc quelle est l adresse « Drouilly » ?
Il faut rectifier votre adresse qui n’est pas au 107 rue de sevres Paris 75006 ; mais près du métro Vaneau.Facheux lors que l’on donne rendez vous à ses amis de province!!!!!!!!!!!!