La Chocolatière
« Tours : la Chocolatière séduit toujours ! »
La façade © GP
C’était depuis 1983 « la Chocolatière » sous la houlette de la famille Ménard à Tours. C’est toujours la Chocolatière, même si, depuis deux ans, la maison est sous la gouverne des Dolfi de la Mère de Famille qui ont racheté de nombreuses institutions sucrées de province, comme Témoins à Caen et Henriet à Biarritz. Les Ménard, dont le fiston Bruno, formé chez Bardet, est devenu le trois étoiles de l’Osier à Tokyo, cherchaient un repreneur qui conserveraient leur héritage. De fait, les jolies ganaches (splendides au café ou grand cru issu du Vénézuéla), tablettes, bonbons au chocolat, pâtes de fruits, caramels, nougats et pâtisseries exquises (ah, ce Paris Brest à croquer!) sont toujours fabriqués dans leurs ateliers de Chambray-les-Tours par les artisans formés ici même comme Thiébault Brunner, le solide pâtissier, et Jean-Marc Polisset, le fidèle chocolatier. Bref, une histoire et une tradition qui continuent. Ne manquez pas les exquis « pavés de Tours »: des pralinés feuilletés à fondre !
Les chocolats © GP
Bonjour,
On m’a offert en cadeau une boite de vos chocolats. J’ai lu la liste des ingrédients et j’ai été effaré par l’impressionnante liste des additifs nocifs que vos chocolats contiennent, notamment les colorants et en particulier le dioxyde de titane E171 qui contient des nanoparticules dangereuses pour la santé, additif dénoncé depuis longtemps par plusieurs associations de consommateurs dont UFC-QUE CHOISIR et FOODWATCH.
Sur recommandation de l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l’Alimentation, l’additif E171 sera interdit dans les produits alimentaires en France à compter du 1er janvier 2020.
Les additifs chimiques sont surtout utilisés par les industriels de l’alimentation et tout le monde sait que ce n’est pas bon pour la santé. Alors je ne comprends pas qu’un Maître Artisan, qui devrait se différencier des industriels, incorpore lui aussi de tels additifs nocifs dans ses produits.
Quand on s’adresse à un artisan et non à la grande distribution industrielle on recherche d’abord un produit sain, exempt d’additifs dangereux, or ici, surprise, ce n’est pas le cas, c’est désolant !
Conclusion: j’ai jeté vos chocolats sans les consommer.
En espérant que vous abandonnerez vite cette chimie inquiétante,
Sincères salutations.
Non, ce ne sont pas les deux seules adresses…
IBE, dommage que vous n’ayez pas pris en compte mon avis donné il y a 2 ans et qui est toujours valable sur Tours. Autre maison à éviter dans cette préfecture de l’Indre-et-Loire, celle sous les Halles de Pascal Caffet.
La chocolatière, Une immense déception à l’occasion de Pâques. Pour cultiver mes enfants au bon goût du chocolat, j’achète trois sujets à la chocolatière dont un magnifique poisson, une poule et un oeuf, soit pour 100 euros environ.. tout cela pour découvrir sur les étiquettes de composition des produits qu’aucun n’a été fabriqué par la chocolatière mais par un chocolatier parisien de production de masse (à la bonne famille) : la composition est quasi la même que du chocolat de supermarché avec une liste d’ingrédients incroyablement longue et bas de gamme ! A fuir ! Je regrette mon achat et je déconseille fortement. Et quand on voit la présentation du site de la chocolatière, bien sûr aucun mot sur cette sous traitance. Malhonnête !
Gilles, vous ne vous êtes pas trop foulé à Tours au niveau pâtisseries et chocolats. En cherchant un petit peu plus, vous auriez pu découvrir, à quelques centaines de mètres du BarJu, précisément, au 59 Place du Grand Marché, la boutique de Nicolas Léger, le meilleur pâtissier de la ville. Et en retournant vers l’avenue de Grammont, vous arrêter au 2 rue des Halles, à la chocolaterie de Jacques Bellanger, MOF, deux adresses qui sont les deux seules références pour becs sucrés de cette ville.