Voilà un bistrot à ne pas laisser filer. Il s’appelle le Rubis (à ne pas confondre avec l’historique bar à vins de la rue Marché Saint Honoré que fit jadis connaître le père Gouin, comme un temple dédié à la gloire du beaujolais et qui perdure dans la simplicité). Propriété de la dynamique Marie Carmarans-Gulin, […]...
Changement d’époque dans ce café éternel où on se souvient être venu – c’était du temps du père Gouin, juste avant l’ère Albert Pras – fêter l’arrivée du beaujolais nouveau sur les tonneaux au dehors. La maison vient juste d’être reprise par Jean-Philippe Bru et son équipe de joyeux drilles, qui n’ont rien changé au […]...
Ambiance bleutée de couvre-feu, hier soir, entre chien et loup. Sur le coup de 19h15, prendre un verre au Rubis, c’est opérer un ludique et judicieux retour en arrière. Ce bistrot sis au coeur du coeur de Paris est un lieu immuable, avec son cadre de 1934 précieusement conservé, son zinc, ses néons, ses beaujolais […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.