C’était un temps où l’on pouvait tout dire. Notre ami photographe Maurice Rougemont avait fait poser, pour le magazine Playboy, que dirigeait alors Annick Geille, Jean d’Ormesson devant une voiture de collection. Le résultat vaut la relecture… Pour cette photo parue dans Play-Boy dans une série sur les voitures de rêve des écrivains, Jean d’Ormesson […]...
Nous avons rendu hommage ce matin à Jean d’Ormesson, qui vient de disparaître. Notre complice photographe, Maurice Rougemont, revient sur lui avec quelques portraits retrouvés. « La photo argentique vous convenait si bien, Monsieur d’Ormesson. Quel plaisir et quelle tristesse d’étaler à nouveau ces « ektas » sur la table lumineuse! »...
Il était l’élégance même. Avec lui, l’amour était un jeu, la vie une danse, la conversation un plaisir. Il avait préparé sa sortie. Nous avait prévenu : « Un jour je m’en irai sans en avoir tout dit » ou encore « Je dirai malgré tout que cette vie fut belle« , disaient ses derniers titres, empruntés à son […]...
Voilà un parfait petit livre de chevet, dont on peut lire un chapitre (il y en a 29…) chaque soir. En en relisant le début ou/et la fin chaque matin. Un manuel de savoir/vivre ou de survie dans un monde déraisonnable, dont le titre, emprunté à Maïmonide, dit tout ou presque. Les égarés que nous […]...
Il se raconte, prend prétexte d’un procès qu’il s’intente à lui-même, se livre aux autres, raconte sa vie, démarre en Allemagne, à l’aube du Nazisme, à Munich, où son père est diplomate et lui enseigne la tolérance, prend sa propre défense, face à son si sévère « sur-moi » qui ne lui pardonne rien, de sa lâcheté, […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.