Voilà une demeure que l’on suit de longue main. J’y ai même rédigé mon premier papier gastronomique en vantant les mérites du petit menu de l’époque, de la vaillante cuisine du patron d’alors, le glorieux Michel Piquart, dont la carte des vins était un monument à prix souvent copains. Le lieu, genre bistrot années 1950, […]...
Cette bonne tête de bistrot éternel continue comme avant, développe sa sphère dans le quartier (un Grill à son nom va remplacer l’ex Sassotondo, d’obédience toscane, en bout de rue). En attendant, Frédéric Hubig continue imperturbable. Ce fou de vins et de bons produits s’est créé un mini-empire discret (Jeanne A, c’est lui) et développe […]...
Un bistrot de quartier du vieux Paris, ses nappes à carreaux, son menu-carte sympa, son ardoise changeante, ses plats de toujours, ses vins malicieux sur une carte abondante: c’est Astier, que fit connaître le déluré Michel Picquart dans les années 1970 – c’était à mes débuts au Quotidien de Paris. Frédéric Hubig l’a repris il […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.