Chartier
« Paris 9e: Chartier est toujours Chartier »
Décor © GP
Ce bouillon balzacien a fière mine, garde son charme intact, ses boiseries, patères, miroirs, son service à l’ancienne, sa gentillesse proverbiale, celle de son accueil non stop de 11h30 à 22h, celle de prix mini. Où trouver ailleurs la soupe de légumes à 1 €, la truite aux amandes à 10 € et le poulet fermier rôti avec ses frites à 8,90 € dans un décor classé?
Soupe du jour © GP
Blanquette © GP
Les Joulie, qui ont repris le lieu il y a quelques saisons, ont eu à coeur d’en respecter l’esprit et la lettre. On vient y retrouver l’ambiance de ses années estudiantines, faire des économies, se nourrir rapidement – et sans déchoir. La blanquette, la tête de veau, les tripous, la noix de joue de veau bourguignonne y sont des oeuvres pieuses.
Tarte aux pommes © GP
On peut y faire une folie avec le côte de blaye château Clairac à 12,50 € ou se contenter d’un petit pichet de rosé du pays varois à 5,50 € (les 46 cl). Le cheese-cake (2,50 €), la tarte aux pommes ou la coupe Mont Blanc passent tout seuls. Qu’on se rassure: Chartier est bien toujours Chartier!
Ambiance © GP
Les charretiers n’existent plus mais le bouillon Chartier risque de disparaitre s’il continue à faire de la cuisine de mauvaise cantine. Je vous décris notre repas d’hier soir, entrées : six escargots farcis à la coquille d’escargot et un hareng pommes à l’huile plutôt un morceau de hareng baignant dans une huile de mauvaise qualité sans aucun assaisonnement, pas d’oignon ni de carottes et quelques morceaux de pommes de terre froides. Plats principaux : Sauté de gras de veau marengo et une andouillette carbonisée frites. Les andouillettes ce sont nous ! Certes, avec deux kirs servis dans un dé à coudre et une bouteille d’eau le prix de 43.10 € était attractif. Mais au pays de la gastronomie servir un tel repas est une honte. Les assiettes des tables voisines n’étaient pas plus appétissantes. Cet établissement est fréquenté par de nombreux touristes qui vont garder une piètre idée de la cuisine Française. Ce n’est pas respecter le client que de servir d’aussi mauvais repas même si c’est simplement pour un prix modique. Allez au Mac Do vous serez mieux servi pour moins cher encore.
Repas de très mauvaise qualité assortie par des propos racistes à l’égard des étrangers. Une honte absolue du début à la fin . le serveur a été d’une impolitesse extrême du début à la fin du repas pour finir en beauté » on est chez nous ce ne sont pas les étrangers qui font faire la loi ici! . le terme usine à bouffe pour touristes prend ici tout son sens . A EVITER absolument . j en informe de suite tous les sites d info et guide de Paris
dans les années juste avant 60 il y avait deux hauts lieux de la gastronomie des fauchés dont je faisais partie, chartier et julien mais pour le prix ce n’était pas ducasse au piano,mais ce furent de bons moments!
Pas d’accord. C’est très mauvais, bruyant, inconfortable.
bjr mon grand père né en 1884 y avait son tiroir avec sa serviette de table dans le années 1900
J’y suis allée pour la premiere fois dimanche 14/12. enchantée. Franchement ceux qui se plaignent de la qualité de la cuisine, sont bien difficiles. La blanquette de veau aussi bonne que celle que je peux faire, ambiance bon enfant, fraternelle, sans chichis, de gens simples. La French touch ! serveuse très aimable
Je fréquente et adore cet endroit depuis les années 70, cuisine familiale, prix top, ambiance sympa et cadre sublime. Merci de ne pas avoir cédé au simple appel du gain, comme tant d’autres endroits autrefois un peu semblables à Paris, et de l’avoir laissé rester, ce qu’il a toujours été : populaire. Rapport qualité/prix toujours aussi bien. Hâte de revenir.
C’est un vrai moment de bonheur ce resto, on y déguste une cuisine familiale à un prix défiant toute concurrence dans un cadre extraordinaire !!!
Goûtez le choux chantilly maison, c’est une tuerie !!!
Allez-y de très bonne heure car la file d’attente est impressionnante …
On y vient surtout pour l’ambiance mais j’ai trouvé la Tête de veau tout à fait correcte.
D’accord, ça n’est pas la panacée au niveau des saveurs et des produits mais en disant que c’est toujours aussi mauvais, ça signifie donc qu’on y a été récemment pour y goûter à nouveau. Et c’est bien là le problème avec Chartier, c’est qu’on a toujours envie d’y retourner, pour l’ambiance, pour les serveurs peu affables mais très professionnels, toujours envie d’y emmener un ami qui n’y a jamais été, toujours envie de s’y perdre un dimanche soir. On ne se rend pas chez Chartier pour bien manger mais pour vivre un moment hors du temps ou discuter avec un touriste asiatique qui vous pose des questions en mauvais anglais sur le pot-au-feu qui est devant lui parce que le serveur a fait mine de ne pas le comprendre. Oui, j’aime bien partager ma table chez Chartier avec des inconnus le temps d’un repas dans le brouhaha. Un spectacle permanent.
C’est toujours aussi mauvais, votre billet est injustifié et laudateur, on se demande ce qui a pu vous « inciter » a l écrire. Une belle amitié avec le groupe Joulie?