Mousse de yuzu © GP
C’est le japonais exquis et méconnu du 16e. Le lieu est minuscule, la devanture anodine. Il y a là quatre tables, plus un comptoir, des lumières vives, du bois clair. Aux commandes, en one man chaud (et froid): Tadahiko Kinjo, qui sert en solo quinze couverts pas plus à travers des menus en figures imposées. […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.