Gilles Marchal
« Paris 18e : la gloire de Gilles Marchal »
On a parlé de lui à ses débuts ici même. Gilles Marchal, ex pâtissier du Plaza puis du Bristol, passé directeur de la maison- du Chocolat, s’est installé à son compte dans cette rue montante (ou descendante, c’est selon que l’on arrive d’ici ou de là), livrant ses pâtisseries coup de cœur avec maestria. Ce natif de Lunéville rappelle que les Lorrains ont le bec sucré avec rigueur et que bon sang lorrain ne saurait mentir. Bref, on se doute que tout ce qui sort de ses labos est digne d’intérêt.
Le Verdi – un opéra chocolat pistache -, le Casse noisette – un opéra marron chocolat -, la bûche pralinoise – un cousin du Saint Epvre nancéen, avec sa crème au beurre pralinée, à tomber par terre-, la galette des rois à la frangipane, les madeleines comme en Lorraine, les jolies viennoiseries, les éclairs et tout le reste donnent envie de prendre un abonnement. Autant dire que le classicisme revu à l’aune Marchal a plus que du bon. Certes, l’accueil pourrait aisément être plus chaleureux. Mais Gilles, lorsqu’il est là, rattrape tout avec maestria. Et la présentation de chaque pièce confine ici au chef d’oeuvre.
magnifique gilles toujours d ‘ aussi belles et bonnes pâtisseries je me souviens de son dôme d ‘hivers
j ai eu l occasion de l avoir comme maitre de stage dans les années 1997 ou 98 a l’école supérieure a yssingeau .
quel bon souvenir.
serge laugier professeur de cuisine a Nîmes en retraite
0626743453