Dina et Riccardo © GP
C’est une belle endormie germanique réveillée par un amoureux kazakh. Nuratin Tagalabergenov est tombé en pâmoison devant une demeure aristo Belle Epoque, à la façade hanséatique et aux grâces 1900 – qu’on nommait « la Villa Bleue ». Il a ressuscitée, transformée d’abord en résidence familiale, enfin, en compagnie de sa fille Dina, à coups d’investissements généreux, […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.