Les Didda ne sont pas à la mode mais ils s’en moquent. Leur exquise pâtisserie familiale tenue avec aisé depuis deux décennies joue les vedettes tranquille de la montante et gourmande rue Lepic. On fait dans la tarte aux fruits au gré des saisons, « comme à la maison« , ou presque. Fines tartes sucrées et caramélisées […]...
La rue monte, elle est gourmande, donne faim, évoque les folies d’Amélie Poulain (le Café des Deux Moulins qui servit de décor au film est quasiment en face). Cette échoppe croquignolette joue la pâtisserie classique au goût d’enfance. On raffole des tartes sucrées à l’orange, poires, framboises ou rhubarbe, comme des tourtes salées au basilic, […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.