Cette hostellerie provençale avec ses quatre demeures réparties au long du village (pavillon des peintres, couvent du XIe siècle, remparts, bastide aux volets bleus) et même en dehors (« la bastide des Sens », où se déroulent les cours de cuisine), ménageant des vues sur le vert des garrigues proches ou lointaines, on la connaît de longue […]...
Retour chez les Bérard, ces artisans du bonheur en Provence, par notre correspondant de la côte d’Azur, Alain Angenost… Suivons-le à la Cadière d’Azur. En Provence, le bonheur a un nom : il se nomme Bérard. Depuis 1969, toute une famille unie a fait de leur hostellerie une attachante destination hospitalière et gourmande. Danièle et […]...
C’est une demeure d’aujourd’hui et de toujours, avec ses quatre demeures réparties au long du village, ménageant des vues sur le vert des garrigues proches ou lointaines. En ouvrant les fenêtres, on admire les vignes de Bandol, comme le proche bourg perché du Castellet où Pagnol tourna « la Femme du Boulanger ». Il y a le […]...
La demeure des Bérard, qui ont créé un bonheur d’auberge, dans quatre demeures du village, on la connaît. Le petit bonheur de la maison: le bistrot sous verrière mis en place par le fils Jean-François qui propose ici les délices du jour et du moment, comme les ravioles d’herbes, la pélamide (ou bonite à dos […]...
C’est une carte postale comme on les aime: un village perché face au Castellet. Danièle et René Bérard créèrent la demeure en 1969. Nés tous deux à la Cadière-d’Azur, lui, fils de commerçant, du côté droit de la rue, elle, fille de paysan, du côté gauche, rachètent l’hôtel d’Europe, QG local des courtiers en vin. Bandol […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.