Noéline Perbet, dont le père Thierry préside l’UMIH (Union des Métiers des Industries de l’Hôtellerie) du Cantal et a développé l’enseigne « Poivre et Sel », anime avec cœur, sourire et talent cette neuve brasserie de centre-ville qui fait des clins d’œil à l’enseigne paternelle. Le jambon d’Auvergne, les nachos au cheddar et à la tomate, les […]...
Les Letzter ? Vous les connaissez déjà. Comme le cousin Ivan, à Gstaad, qui tient le Rialto, ou la tante Angèle et l’oncle Wilfred, qui oeuvrent au voisin Caveau de Bischtroff-sur-Sarre. Sans omettre le papa Johnny, qui coule une retraite heureuse, après avoir fait connaître la belle viande aux Strasbourgeois (c’était au Boeuf Mode de […]...
« Cuisine traditionnelle » indique Laurent Delafosse sur sa carte de visite. Ce bon chef sérieux, natif de Bolbec, qui a travaillé à la Marine à Fécamp et à celle de Caudebec, n’hésite pourtant à bousculer les recettes ancestrales dans cette demeure sise au sein de l’historique quartier Saint François, jadis fréquenté par les Bretons. On vient là […]...
Il est l’étoilé marin de sa ville. Patrice Eschalier, formé chez Ducasse et Gagnaire, passé au château de Loguénolé à Hennebont, a fait d’une demeure du vieux Clermont, avec poutres et murs jaunes, un temple du beau produit marin. Langoustines grillées sur une marinade croquante de légumes frais, risotto à l’italienne aux algues et ormeaux […]...
Un miracle ou une auberge ? Les deux, mon général ! Voilà dans la commune de Sarralbe, en Moselle, mais en lisière du Bas Rhin et de l’Alsace Bossue, dominée par l’usine Solvay, dont le charme de l’habitat n’est pas le fort, une halte qui vaut assurément le détour. Aux commandes : Vincent Letzter, natif de Strasbourg, […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.