Le déjeuner de Sousceyrac
« Sousceyrac: l’auberge de Patrick »
Il est le modeste des bons cuisiniers lotois, le discret du lot. Patrick Lagnès, Lozérien formé à Paris au Ritz et la Tour d’Argent, désormais enraciné dans son bourg proche du Cantal, tient avec sérieux cette maison de tradition rendue célèbre par le roman éponyme de Pierre Benoît. Il taquine l’aigre-doux avec joliesse, travaille des produits de qualité, joue les menus à bon prix (celui à 18 € servi midi et soir est une affaire en or).
Bref, on goûte, « dans ce sauvage et dur pays (qu’est) le Ségala » (comme dit Pierre Benoît en liminaire de son récit fameux), des choses bonnes, fines, fraîches et douces. Foie gras de canard à la marmelade de pruneaux, gâteau de crabe aux asperges avec son sabayon parfumé aux morilles ou poitrine de pigeon en chou farci au jus réduit et riz au lait à la truffe noire font bel effet.
Etape chez M. Patrick Lagnès en ce début Juillet dont je n’ai qu »à me féliciter : excellent dîner , richesse des saveurs et générosité des portions . Une chambre agréable et très bien tenue . Que demander de mieux d’autant que l’addition est très raisonnable . Bonus , un chef talentueux d’une grande modestie passionné par son métier et disponible pour converser avec son hôte . J’y retournerai !
La perfection à tous points de vue dans une petite ville du Lot. Compliments au chef pour une cuisine raffinée, une présentation exquise des mets avec des vins et des fromages délicieux.
Le cadre est sobre et le service très efficace. Nous y reviendrons!
Je voulais vous faire part d’une très heureuse rencontre.
le 27 septembre 2013 nous avons dormi et diner dans cette étape du Lot.
un pur bonheur !
une rare finesse dans les mets
mise en bouche d’un chou enveloppant des queues de langoustine enrobée d’une émulsion : somptueuse
suivi par des escalopes de foie gras poilées sur un coulis de mûre : somptueuses
enfin j’ai succombé au lièvre à la Royale : somptueux
les fromages de la région étaient parfaits
le dessert d’une très grande légèreté
complété par une poire pochée dans un jus au cerfeuil
le lendemain au petit déjeuner les croissants aux amandes étaient un pur délice.
pour étape campagnarde, ce fut un diner digne des plus grands par un homme orchestre bourré de talent !
Le patron se fiche du monde. Accueil au dessous de tout. Nul de chez nul.
Nous y sommes allés avec en tête les descriptions délicieuses que nous en avions lu et ….
notre déception fut inversement proportionnelle à la hauteur de notre attente.
le restaurant ne vaut absolument pas son étoile. service qui manque de finesse. le cadre est triste à mourir. le menu (1, 2, 3) est digne d’un routier. Pour couronner le tout, les plats faisant appel à des produits du terroir doivent être commandés 5 jours avant de venir !! pour de l’agneau, de la truffe, du veau du ségala etc c’est un peu fort ! la cuisine est bonne mais sans être exceptionnelle.
Nous allons déjeuner à Sousceyrac pour « les grandes »occasions…et c’est toujours une vraie fête de retrouver Patrick et Eliane. Tout est bien, tout est parfait : la table, le contenu des assiettes, le service, la salle et même le feu de cheminée!
Et puis Patrick a un tel parcours! C’est aussi un Monsieur avec beaucoup d’humanité, d’humilité et de sincérité.Bravo à ce chef et bonne année
Nicole de Lupade
D’après des amis qui y ont mangé, c est très bon, l’accueil chaleureux, la cuisine très fine. Bref, bientôt on va venir juger sur place. A bientôt, passez de bonne fêtes de fin d’annee. Bisous à tous et courage si vous travaillez. michele du rouge
Auf dem Rückweg vom Midi nach Deutschland haben meine Frau und ich zwei Nächte
im Hotel Prunet verbracht und waren ganz begeistert von einer wunderbaren,
feinen, kunstvollen Küche, die unsere Gaumen verwöhnt hat. Wir waren ganz
begeistert und werden wieder dort Station machen.
Michael und Christine
Patrick Lagnès a joué la carte de le très haute qualité dans ce coin reculé du Ségala. C’était un pari difficile. Il l’a gagné! Sa cuisine peut rivaliser avec celle de bien des grands chefs mieux placés géographiquement. Ses mariages de saveurs inattendus sont systématiquement des réussites!
Allez à Sousceyrac!
salut à tous
c’est vrai qu’il faut du courage pour s’imposer à Souceyrac. J’irais y manger en Juillet et poursuivrais ici …
Oh que oui, souvenirs, souvenirs … de février 1976 d’un excellent déjeuner au Sousceyrac de la rue Faidherbe où le chef Legrand sous la houlette de Gabriel Asfaux (38 ans de fourneaux à l’époque) nous avait régalé de « foie gras », de « saucisson », de « caille », de « dessert », arrosés de « Pécharmant » et « Sauternes » sans oublier la coupe de Champagne de l’apéritif et le café, le tout pour 193 F 20 pour 2 !
Bonjour Gilles
Vous avez bien raison de mettre en avant le travail de Patrick car ce n’est pas facile tous les jours de tenir une étoile a sousceyrac
bien a vous
Patrick Asfaux
ex restaurant A Sousceyrac a Paris
(souvenirs !!!)