Le Schtampfel

Antoine André et le service © GP

Schtampfel : c’est le tampon en Alsacien. A cette enseigne, Antoine André, qui a voyagé dans le monde entier, en Chine, comme en Amérique –ce que raconte sa fresque sur le mur -, et revenu au pays de ses amours, a ouvert une taverne aimable. Le lieu fut jadis la poste de Boersch, si joli bourg vigneron avec sa place Renaissance, son hôtel de ville avec oriel,  son puits à six seaux. Et le lieu affable. Comme ce qui est servi : gentil tout plein, modeste, frais sans façon. Au gré de l’ardoise changeante, assiette de cochonaille ou du randonneur, risotto au parmesan et écrevisses, quiche au saumon fumé, tagliatelle aux tomates cerises ou cassolette de tortelli aux asperges font plaisir sans manière. In fine, on craque pour les abricots rôtis avec leur glace chocolat blanc.

La cadre © GP