Mythique, historique, « popu chic« , prisé des touristes, respecté par les Parisiens : c’est le Café de la Paix. Et il n’y en a qu’un ! Les colonnades, stucs, plafonds peints par Garnier, tables bien nappées en font un lieu à part, un peu brasserie, un brin gastro. Aux commandes des fourneaux, Laurent André, formé […]...
Pas terrible, mais sympa : c’est le verdict d’un retour chez Ma Goldo, qu’on découvrit il y a deux ans. Ce repaire de copains, animé, comme à Deauville, par le duo de potes charmeurs Charles Aigniel et Philippe Goldberg, joue la trattoria à la française en version relaxe, le produit correct, l’assiette cuisinée a minima, […]...
De ce vertueux Bouillon Pigalle, on vous a tout dit: qu’il était drôle, vif, généreux, créé en lieu et place du Chao Ba Café par les frères Moussié qui ont rénové le Barbès un peu plus haut dans le quartier, que le cadre en étage avait du chic, que les prix étaient angéliques, le service […]...
Pas (trop) cher et simple, sympa et léger, végétarien (mais pas seulement), savoureux et même gourmand : c’est l’ex-café des Ombres revu au rez de chaussée du musée des arts premiers (devenu Musée du Quai Branly-Jacques Chirac) revu par le cuisinier globe-trotter, trois fois étoilé à Londres, Monaco et Paris. A l’enseigne de Jacques, en […]...
Il s’appelle Akira Sugiura, formé au Japon à l’école Tsuji, passionné de cuisine italienne, a travaillé à Gênes, Florence et à Turin (chez le deux étoiles créatif Davide Scabin au Combal Zero), sans oublier des passages à Sydney chez son compatriote Tetsuya Wakuda, à Barcelone et chez Sola à Paris, sous la gouverne d’Hiroki Yoshitake. […]...
« Botanique et bistronomique »: telle est la cuisine de Michael Hüsken qui officie au Sophia’s, le beau restaurant clair et aéré du Charles. L’hôtel munichois de la chaîne Rocco Forte, design et récent, non loin de la gare et du jardin botanique de la capitale bavaroise, a le look contemporain. Sa table aussi, qui ouvre tous […]...
Ce bar discret, à l’italienne, qu’on atteint presque par mégarde dans un passage du centre ville, joue les QG années 1970, à la fois chic et relax. On vient boire un café, un Campari, un Spritz, un Negroni, céder aux parlotes du jour au comptoir, lorgner la grande photo évoquant de lointaines vacances quelque part […]...
On l’a connu jadis au Canard à Hambourg, où il était « le Turc de Munich », étoilé face à l’Elbe, dans l’ancienne maison, tel un navire immobile, de Josef Viehauser. Ali Güngörmüs est de retour chez lui, dans la capitale bavaroise. Formé au Gasthaus Glockenbach au temps de Karl Ederer, dans sa ville de fondation (il […]...
C’est la plus ancienne demeure de la ville, millésimée 1550, avec sa façade renaissance, précieusement conservée des destructions de la guerre. L’intérieur, certes, a été rénové avec minutie, mais gardant le charme d’une taverne de toujours. On y vient à toute heure, boire le café, une bière, manger harengs ou saucisses, käsespätzle ou Wiener Schnietzel, […]...
Rudolf Wenig et Elisabeth née Knapp ont repris cette boulangerie historique, qui appartint à la voisine Hobräuhaus, dont ils ont su garder et même peaufiner le charme ancienne. IL y a l’échoppe elle-même, avec son enseigne en forme de bretzel, ses pains aux céréales et au levain, son kougelhopf, ses boules de campagne, ses variétés […]...
Star populaire, rendue fameuse pour ses livres nombreux, ses apparitions à la télévision régionale, sa cuisine pour le FC Bayern, ses spectacles gourmands à l’enseigne du Palazzo, Alfons Schuhbeck a quitté son village bavarois de Waging-am-See pour se constituer un petit empire de bouche en centre ville. Il y a l’épicerie, le glacier, l’école de […]...
Depuis cent ans, le bon chocolat munichois s’appelle Elly-Seidel. Quatre générations se sont succédé là depuis l’origine. Les Rambold, aux commandes de la maison depuis 2010, continuent dans le même esprit d’artisans de luxe. Ganaches, pralines, truffes, tablettes issus de grands crus choisis aux meilleures sources sont présentées comme des bijoux....
Les Deux ? La table de l’Alsacien de Blienschwiller, Fabrice Kieffer, passé notamment en salle chez le grand Heinz Winkler à Aschau, qui reçoit avec élégance sur deux étages dans immeuble moderne sis dans un espace clos et tranquille, plein centre de Munich entre deux rues animées. Le lieu est sobre, a du chic, le […]...
Albert Corre vend à Alexandra Damas Après plus de 30 ans de présence rue Pergolèse, dont 17 au Petit Pergo, Albert Corre jette l’éponge. L’ancien élève de Joël Robuchon, Alain Senderens, Jacques Cagna, Paul Huyart à la Crémaillère, dans son Orléans natal, ne croit plus au métier, ni aux restaurants sans terrasse, ni aux cuisiniers […]...
Du tout pour tous, à tous les prix: voilà ce qu’on trouve juste derrière l’opéra, dans ce bel immeuble moderne avec ses grandes salles à colonnades. Il y a le coin comptoir avec salon, le vaste grill ouvert, la cuisine qui propose mets dans le vent, jolis pâtes, poissons au goût du jour. Carpaccio d’artichaut, […]...
Toujours détenu par la même famille depuis l’origine (1817), ce vaste restaurant-institution joue la brasserie à toute heure, fabrique sa propre bière, sert toute la litanie des plats locaux, mixte hareng mariné et jarret laqué, saucisses en folie et leberkäse. Le service est nombreux autant qu’amical, les salles variées, la grande avec sa verrière, son […]...
Nobu (yuki Matsuhisa), autrement le vrai Nobu, agissant sous son nom avec une équipe rodée, est présent à Munich au Mandarin-Oriental, dans un lieu chic, élégant et relaxe. La cuisine est ouverte, les tables en bois précieux ont du caractère et de la chaleur, les produits sont superbes, les chefs ad-hoc, mi-nippon, mi-allemand, ont bien […]...
Ce palais néo-renaissance avec ses soixante sept chambres et ses six suites a l’allure intime. Le service veille sur vous en douceur. Le mobilier soigné, les salles de bain en marbre, les vues sur la ville depuis le dernier étage, le soin du service, le bar très contemporain (« Ory« ), la table maison, néo-japonaise, « Matsuhisa » par […]...
Retour à la Chèvre d’Or pour notre correspondant de la Côte d’Azur, Alain Angenost… En ce début de saison 2019, la Chèvre d’Or n’a jamais été aussi resplendissante. Dès que l’on passe sa grille, la magie opère. Le fantastique paysage qui se déroule devant nos yeux entre ciel, terre et mer est toujours une source […]...
Jòia d’Hélène Darroze: vous connaissez la table de la rue des Jeûneurs. Voici le livre, plein de joie et de fraîcheur, avec les recettes, les idées, les belles choses, le guacamole à faire soi-même, le boudin noir maison, la salade de homard et anchois, les poireaux mimosa, la queue de lotte au basilic, les « short […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.