Avec ce village suisse, j’éprouve un peu plus qu’une connivence. Il y a le souvenir de Jacques Boutelleau, auteur du « Bonheur de Barbezieux (Stock, 1938), qui vient, en 1907, soigner ses bronches, découvrir la magie du Léman, se faire happer, très vite par sa lumière, les collines verdoyantes d’ici, les Alpes enneigées juste en face, […]...
Drôle de ville, perchée sur trois collines, montueuse et bancale, avec son air de ne pas vouloir se faire voir et cette quinzaine de musées, fondations et palais qui drainent les visiteurs de tous les continents. Discrète, Lausanne, comme on attend d’une ville vaudoise, par ailleurs capitale de la Romandie, cité de culture, d’édition, de […]...
C’est une peinture sur le motif. Il y a le Léman en contre-bas, Vevey qui s’y trempe les pieds, les Alpes et la France juste en face. Ici? Le Mont Pélerin, les hauteurs raisonnables, un sommet qui culmine à à peine plus de mille mètres, le panorama immense depuis le Mirador. L’hôtel, devenu palace moderne, […]...
Ce n’est rien d’autre qu’un simple village sur la route reliant les Alpes vaudoises à l’Oberland. Un clocher qui ruse avec le ciel, un prieuré attenant devenu château, puis une placette, des fermes anciennes de bois brûlé et leurs frontons sculptés. Chaque demeure raconte une histoire. La plus belle maison du pays – le Grand […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.