Il est mon Tony Armstrong Jones. Qui illustra le Nouveau Londres (Plon, 1962) de Paul Morand, traquant dans le neuf visage de la capitale londonienne le visage rieur de l’Angleterre éternelle. A Saint James, Maurice Rougemont s’en est donné à coeur joie. « Saint James était la patrie des excentriques. A leur amour de l’excentricité seul […]...
Cette église et ce marché, mais oui, vous les reconnaissez. C’est là que la petite Elisa Dolittle, l’héroïne de « My Fair Lady », vendait ses fleurs, là que le héros de « Frenzy » d’Hitchkok choisissait ses victimes. Le marché n’a pas disparu, même, si comme du coeur des Halles de Paris, boutés vers Rungis, les marchands de […]...
L’Eurostar a-t-il banalisé Londres? Oh, shocking, il n’y a plus d’Anglais avec parapluie , cravate et chapeau melon, plus de collégiens en tenue, plus de major Thompson comme chez Pierre Daninos, plus guère de pubs à l’ancienne – encore que cela reste un des derniers bastions de la vieille Angleterre – et les Londoniens d’aujourd’hui […]...
Londres ne serait plus London? Voyez Saint-James, qui est son cœur et son bastion de tradition. Comme le relevait Morand: « c’est le quartier des clubs, des théâtres, des célibataires« . Ces derniers se vêtent toujours à Jermyn Street, chez Turnbull & Asser ou Hilditch & Key, achètent leurs fromages chez Paxton & Withfield, choisissant leurs parfums […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.