On aime bien cet hôtel charmeur dans le goût « Côté Ouest » et qui eut même les honneurs de la couverture du magazine du même nom il y a une quinzaine d’années. Tenu avec sérieux et enthousiasme par les Latour, il n’a rien perdu de sa séduction, ni de sa modestie, mixant ambiance bon enfant, déco […]...
Pour le bonheur de se réveiller face au port et aux bateaux de Saint-Martin, cette exquise demeure d’armateur revue en hôtel au luxe sage s’impose avec évidence et mérite à elle seule le voyage à l’île de Ré. Il y a le service au plus que parfait, mené avec efficacité par jeune Laurent Coudrin, qui […]...
Perle hôtelière de l’île, Toiras possède aussi la table plus raffinée de Ré. Le décor de salle à manger bourgeoise avec ses jolis tissus et tableaux, sa verrière, est fort soigné. Le lieu est intime, n’accueille que seize couverts et voit travailler, en one man chaud, derrière sa vitre, le solide Thierry Bouhier. Ce Vendéen, […]...
La star hôtelière de Saint-Martin-de-Ré? Toujours le Toiras, sa noble façade avec sa tour à fleur de quai. Je vous ai tout dit déjà sur cette demeure d’armateur revue en hôtel au luxe sage qui est la perle des Relais & Châteaux de l’île. La maison, qui a vu grandir sa petite soeur en ville, […]...
Je vous écris de Saint-Martin-de-Ré, à deux pas de la prison forteresse qui inspira son « Merde à Vauban » à Léo Ferré, dans cette capitale touristique de l’île qui pourrait en être à la fois le Saint-Tropez et le Saint-Paul de Vence : un carrefour chic, avec ses multiples demeures anciennes, son port et ses bateaux à […]...
Pile sur le port du plus joli village de l’île de Ré que cernent les fortifications imaginées par Vauban: c’est le Toiras, un perle hôtelière dédiée au maréchal Jean de Caylar de Saint Bonnet de Toiras (1585-1636) qui défenditl’île contre les Anglais. Imaginez une maison d’armateur du XVIIe siècle, sa façade banche, ses fenêtres sur […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.