Un éternel jeune homme qui ne bouge guère et rajeunit au fil des ans : c’est Vincent Jungmann qui propose toujours un superbe foie gras de canard fait maison avec son chutney de fruit (livré avec succès durant le confinement) et renouvelle sa carte au fil du marché dans la passante rue des tonneliers. Les […]...
C’est toujours l’une des tables les plus charmeuses d’Alsace, avec son cadre d’ancienne ferme rapportée de Molsheim, pièce par pièce, dans le parc de l’Orangerie, son service d’exception, sa carte des vins grandiose, sa cuisine au « top » de son sujet, qui joue les plats de la région et ceux du goût du jour, orientés plein […]...
C’est toujours la plus belle terrasse de la capitale alsacienne, avec ses chaises en métal, ses coussins blancs, très « costiens » d’allure, face à l’université de Strasbourg. Et tout près de la statue de Goethe, oeuvre de 1904 due au sculpteur allemand Ernst Wägener. On peut y surveiller les aléas de la ville, prendre un café […]...
Cette guinguette de la Robertsau, ce quartier de maraîchers additionné à Strasbourg qui a gardé son aspect champêtre, vous la connaissez. Cédric Moulot, le patron du Crocodile, du 1741 et du Tire Bouchon, qui l’a acquise il y a trois ans, lui a donné un neuf tonus, avec, à la direction de salle, la souriante […]...
Si le nom – Le 2 – Franchi & Pescara – vous semble sibyllin, soyez tranquille vous n’êtes pas seul ! J’ai mis moi-même mis du temps à comprendre que Marie-Joséphine Miccolis-Franchi, dont les parents tiennent la maison de glaces la plus fameuse de Strasbourg, rue des Francs Bourgeois, établie là depuis 1935, plus une […]...
Le succès dure, continue, défie les modes. Cet ancien haras d’époque Louis XV revu en lieu contemporain pour Marc Haeberlin par Patrick Jouin a toujours le vent en poupe. La maison dirigée, en salle, par Maxime Muller, beau-fils du maestro de l’Auberge de l’Ill, et, aux fourneaux, par le bon disciple François Baur sert sur […]...
La meilleure pizza de Strasbourg ? En tout cas, celle dont tout le monde parle, avec sa Margherita aux ingrédients authentiques (mozarella fleur de lait d’Agerola, tomates San Marzano DOP, parmesan affiné 26 mois, basilic), plus une farine de qualité et une croûte craquante, sa « crudo » au jambon de Parme et sa « salsiccia et carciofi » […]...
Costaud Moulot ! Il reprend la fameuse Vignette de au cœur de la Robertsau, cet ancien quartier de maraichers de Strasbourg devenu résidentiel, sans toucher un iota au décor, à la cuisine, à la formule et à l’ambiance et, après les réussites du 1741, du « Croco », du Bon Vivant, du Tire-Bouchon et du Meiselockler, remporte […]...
La maison, on la connaît depuis belle lurette. Elle trône, place Gutenberg, depuis 1544. C’était, en 1900, A la Guenon, puis au Cerf d’Or. Enfin, Stadtwappe, autrement dit Aux Armes de la Ville. Cédric Moulot, patron du Croco, de quelques winstubs et du voisin 1741, a racheté la demeure à son ex associé Philippe Bohrer, […]...
Au cœur de la Robertsau, ex-village de maraîchers devenu quartier résidentiel de Strasbourg, Philippe et Yves Ennesser ont relancé avec aise la maison familiale. Le cadre d’ex-ginguette chic de leur Coq Blanc a été modernisé, tandis la terrasse d’été fait un tabac légitime. L’accueil est prompt et le service féminin dynamique autant que souriant. Philippe […]...
Il est Strasbourgeois depuis un quart de siècle, natif de Basilicate, si bien ancré au coeur de la capitale européenne, qu’il se rend à peine compte que l’anagramme de son nom signifie simplement « l’Alsace« . Antonio Casella, qui nous ravissait jadis rue des Charpentiers, est, depuis quelque dix huit ans, l’aubergiste italien discret de la rue […]...
C’est la dernière winstub en ville, avec le Rutsch dont nous avons parlé il y a peu. Un lieu neuf, mais avec l’ancienne, avec sa terrasse sur la rue passante (celle du Maroquin, juste en face qui abonde en tables de toutes sortes), en lieu et place de l’anodin Munterspatz. Cédric Moulot, qui cumule les […]...
C’est « la » terrasse dont tout Strasbourg parle. Evidemment, on vous a parlé du lieu, de sa renaissance, de son service qui a ses hauts et ses bas, de son chic viennois, de la cuisine, le midi, de Stephane Fieger. Sachez que la terrasse du Brant est la plus belle de la ville. Entre le palais […]...
C’est la dernière winstub dont Strasbourg va causer: une winstub, toute neuve, à l’ancienne, qui a choisi pour nom le verre traditionnel dans lequel on boit le vin (d’Alsace) en pichet (« le rustchala »). Aux commandes de la demeure, dans une rue piétonne de la Krutenau, le quartier bohème et un brin artiste de la capitale […]...
C’est « the » rapport qualité-prix à Strasbourg en ce moment: une table avec terrasse, cadre contemporain, menus alertes, formule bienvenue, au coeur du quartier de Cronenbourg. Celle de Romain et Stéphanie Creutzmeyer qui ont tenu le restaurant du golf d’Illkirch avant se mettre ici à leur compte. Romain, auparavant, a été chef garde-manger au Buerehiesel, aux […]...
Cette fausse épicerie provençale fait une véritable adresse sympa et jeune du coeur de Strasbourg. La déco intérieure a du chic, avec ses clins d’oeil aux apéritifs d’antan, ses tables en bois, ses murs délavés. La terrasse fait un tabac au moindre rayon de soleil. Jolies tartines, boissons douces et belles parlotes font tout le […]...
Le café en terrasse n’est pas terrible. La serveuse ne sait pas ce qu’est un ristreto. Elle vous apporte une lavasse en tasse d’un air désolé. Les dames dans les salons ont l’air heureux devant leur linzer torte. Mais celles qui sortent des toilettes assez patibulaires sont assez dépitées. Nous sommes pourtant chez Riss, l’une […]...
Cette maison phare du Strasbourg qui sort, vous la connaissez bien. Elle conte une histoire: celle des guinguettes de village d’autrefois. Danie Douadic, qui fut jadis chez Yvonne, puis à l’Alsace à table, en a fait la belle adresse relax des gourmands qui s’encanaillent sans se lasser. Elle est relayée en salle par sa fille […]...
Près d’un an après son ouverture, les anciens haras nationaux époque Louis XV, revus façon brasserie par Marc Haeberlin et son équipe, affichent complet à tous les services. Les raisons du succès: il y a le cadre, moderne dans de l’ancien, signé Patrick Jouin, le service prompt, sous la houlette du jeune Maxime Muller, et […]...
Le bâtiment date de 1544, la brasserie, actuelle, de 1900. Ce fut d’abord A la Guenon, puis au Cerf d’Or. Enfin, Stadtwappe, autrement dit Aux Armes de la Ville au début du siècle précédent. La demeure a gardé ses fresques d’André Wagner, ses banquettes de bois, ses patères en cuivre, son comptoir-desserte. Philippe Bohrer, à […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.