Simple, bonne, savoureuse, authentique : cette taverne comme aux Cyclades, avec sa terrasse, son cadre avenant, ses serviettes blanches, sa cuisine 100 % grecque, on la connaît de longue main. Elle est la première maison des Mavrommatis. Depuis 1981, les frères chypriotes tiennent là leur « bon coût », juste à côté de leur table […]...
On a jadis connu, dans ce café à l’ancienne, situé pile derrière la place du Panthéon, Bernard Pontonnier, qui y défendit les vins de Loire, avant de devenir, du côté de Chinon et de Bourgueil, vigneron lui-même. Le lieu n’a guère changé, améliorant même son frichti, proposant une cuisine du marché de qualité inscrite sur […]...
Quand Saveriu Cacciari, qui possède trois tables dans Paris (dont le classique l’Alivi, dans le Marais), ouvre une trattoria méditerranéenne boulevard Saint-Germain, à quelques pas de la Sorbonne et du musée Cluny, il imagine une brasserie tendance simple et sans bavure. Les produits sont impeccables, l’ambition modeste, les tarifs modérés, le choix de vins (comme […]...
Voilà un lieu affable qui ferait prendre le bas de la rue Mouffetard pour les lisières de la Butte Montmartre. Il y a la table haut perchée, la joliesse d’un lieu ancien, agrandi depuis ses origines (1937), tenu avec gentillesse par Marie-Martine Dez et Christelle Gendre comme une maison de famille. Le cade est adorable. […]...
Voilà une taverne comme dans les Cyclades, avec sa jolie terrasse, son cadre soignée, ses tables bien nappées, ses serviette blanches, ses chaises paillées comme au pays, sa cuisine 100 % grecque, battant pavillon chypriote. L’île d’Aphrodite, c’est Chypre et c’est de là que viennent les frères Mavrommatis qui veillent sur le quartier. Leur table […]...
Balzar ? Une brasserie institution voisine de la Sorbonne, qui sert, depuis des lustres, le meilleur monde des lettres de la rive gauche comme les touristes américains en quête de l’authenticité frenchie. Le lieu a du chic, dans le goût art déco. Alain Grandière, boucher de son état et fournisseur de nombreuses brasseries en viande, […]...
Salon de thé cosy, petites dînettes intimes, produits d’épicerie fine à emporter, gâteaux exquis à saisir : voilà ce qu’ont imaginé avec malice Sébastien Détré et Mathieu Allard, deux copains d’enfance saisis par le démon de la gourmandise. On a d’ailleurs connu le second au Comptoir Baulois qu’il gère toujours avec entrain tandis que le […]...
Cette auberge d’angle charme, sur deux étages, depuis 1631, les amoureux de Notre-Dame, sise juste en face. Deux copains, fous de Paris, le franco-arménien Vladimir Nazaryan et l’américain du Connecticut, John Rider, lui ont redonné vie. Il y a une terrasse avec vue sur la Seine et le quai, une déco contemporaine, des murs de […]...
Pratique, sympa, rigolo, pas cher, alerte, recommandable aussi pour les dînettes entre amis avec sa salle en sous-sol, son coin bar, ce Loulou « friendly » reçoit avec gentillesse. On vous en avait parlé il y a trois ans pile. Le lieu n’a pas changé, les prestations sont restées à peu près identiques. On fait toujours dans […]...
Une neuve cantine asiatique, découverte par le chargé de promotion de ce blog, Boris Cohen, suivons-le vite à la Maison Sen… Sen, pas Zen: cette demeure relax et gourmande, qui a ouvert au printemps 2015 entre le Boulevard Saint-Germain et la rue des Ecoles propose les basiques de la cuisine vietnamienne en version « restauration rapide » […]...
Cinq ans sans aller chez René! Comme le temps passe… Pourtant, rien n’a changé. Jean-Gabriel de Bueil, qui possède également Fred boulevard Péreire, Georges rue du Mail et le Bistrot de Paris rue de Lille, a su conserver à cette demeure reprise par les Cinquin en 1957, créée de fait en 1896, son âme de […]...
C’est un « diner » à l’américaine revu à la parisienne, avec ses murs de faïence blanche, ses banquettes, son comptoir, sa terrasse, son canapé de cuir, ses inscriptions amusantes. Les serveurs ont le sourire, même si l’attente est parfois longuette. Il faut dire que le lieu a du succès. Les prix sont modiques, les prestations modestes, […]...
Il y a l’allure d’un bistrot, la terrasse vraiment mini, la cuisine ouverte, les grignotages façon tapas (assiette de charcuterie, pimentos farci, croque monsieur à l’encre de seiche), les phrases empruntées à Blondin (qui rendait ses notes de frais en indiquant: « verres de contact« ), la carte des vins passionnante, les couleurs joyeuses, l’équipe des fourneaux […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.