On vous en a parlé, on vous en reparle. C’est la saison, le plein été, déjà, qui veut ça. Nous sommes au Bois de Boulogne, juste derrière la Grande Cascade. Les Menut, qui sont des aubergistes malicieux et possède quelques belles maisons dont la précédénte nommée, ont fait de cette auberge leur botte pas si […]...
Au pied de la Maison de la Radio, sur son avenue passante, ce bistrot parisien début de l’autre siècle conservé dans son jus fait aisément le coup du charme. Repris avec entrain par le jeune Miri Chérif, qui a travaillé dans le groupe Costes, il fait figure de belle affaire avec sa grande terrasse d’été […]...
C’est l’une des belles terrasses de l’été, parfaite pour régaler petits et grands avant ou après les jeux multiples du Jardin d’Acclimatation. Le grand pavillon a été relooké moderne par Christian Ghion et la cuisine confiée au maestro de Ledoyen Christian Le Squer qui a placé là son bon élève Yannick Quemin. Le service, lui, […]...
Ca y est: j’ai trouvé enfin mon libanais de coeur, que je dois à Pier Silli, vénitien un brin phénicien qui vécut quinze ans durant au pays du Cèdre et n’a de cesse de retrouver ici et là les saveurs authentiques qui le firent humer, aimer, respirer, s’émouvoir, enfant. Nous sommes là quai de New […]...
Il y a la magie du bois de Boulogne, sa verdure, son parc dédié à Théophile Catelan, capitaine des chasses de Louis XVI. Lieu de promenade champêtre à la fin du XVIIIe, ravagé par les Prussiens qui y établissent leur camp en 1815, laissé à l’abandon durant plusieurs années, il est rénové par Napoléon III, […]...
C’est une terrasse parfaite pour remplir un petit creux à toute heure sans dommage pour le porte-monnaie, un lieu épatant pour les lève-tard, les Parisiens avides de soleil, d’envie de vacances. On y sert à toute heure, comme au Liban, à l’intérieur coloré, mais surtout à l’extérieur, en prise directe sur le va et vient […]...
C’est un lieu dont l’enseigne résume tout: l’histoire, le style, l’emplacement, l’environnement, l’atmosphère, jusqu’à l’esprit du quartier. Le musée Marmottan-Monet n’est pas loin, les jardins du Ranelagh sont quelques buissons plus loin. Il y a, juste en face, la gare de la Muette, devenue table tendance, mais cette Rotonde ci, avec sa façade Art-déco, sa […]...
Notre correspondant de la côte d’Azur est en vadrouille à Paris. Sa première bonne pioche? L’auberge des Menut au Bois de Boulogne. Ce sont les beaux jours du Bois de Boulogne. Le soleil est au rendez-vous, les arbres sont verts, tout comme les parasols et les chaises de la bien nommée Auberge du Bonheur. Cette […]...
Eh, bien voilà, j’ai fait chic, chic, chic à midi et popu le soir… Enfin, presque. Me voici donc, après le Meurice, à la Garçonnière. Les prix ne sont pas les mêmes, l’ambiance non plus, le public de yuppies bon teint qui ont bossé sans trève dans les bureaux non loin, se met à l’aise, […]...
C’est l’une des terrasses idéales pour les beaux jours, l’un des cadres – champêtres – les plus chics de Paris, au coeur du Bois de Boulogne, avec ses airs éternels de pavillon Belle Epoque. Ce monument hors mode, proche de l’hippodrome de Longchamp, a du chic avec son personnel de salle jeune, efficace, souriant et […]...
Je suis comme tout le monde: j’aime Paris au mois de mai. Qui est déjà à son mieux fin avril, avec son ciel bleu, ses jupes qui raccourcissent, ses bourgeons qui renaissent. Pour bien l’apprécier, surtout, ce midi, après une prestation pleine de vie chez Stéphane Bern pour le Fou du Roi, à France Inter […]...
Il ne manque pas de cachet, ni de chien, ce beau café années 20, revu années 1950 et qui semble flambant neuf. La terasse a vue sur le Monoprix et la place du marché. Nous sommes là au coeur du village d’Auteuil, face au métro Michel-Ange. Carla B., qui gîte tout à côté, dans une […]...
La crise n’existe pas. N’a jamais existé. Tout le monde est beau, riche et gentil. La preuve? La terrasse du Flandrin sous le soleil, prise d’assaut par les beautiful people, le tout seizième chic, Neuilly et Levallois, sa banlieue. D’ailleurs, Patrick et Isabelle Balkany sont au premières loges. Marcel Dessailly, en famille, s’est sagement réfugié […]...
Je me suis pris pour Musset hier soir, tant le temps était clair et la lune comme un point sur un i, comme dans le poème éternel du doux Alfred. Rappelez vous: « C’était, dans la nuit brune, Sur le clocher jauni, La lune Comme un point sur un i. Lune, quel esprit sombre Promène au […]...
Question à 65 € par tête: où déjeuner à Paris, un quatorze juillet, alors qu’il est tard, que tombent des trombes d’eau du ciel et qu’on n’est pas très sûr de son (bon) goût ce jour d’été gâché par les questions d’actualité. Dans un Costes, bien sûr. Donc, voilà le Murat, pile à la porte […]...
C’était hier soir, un lieu pris d’assaut, avec son patio, par tout le seizième en goguette. Il est vrai que, par temps caniculaire, sa cour pavée, ses arbres, sa statue XIXe, il fait une idée superbe pour l’été. C’était jadis l’annexe du chic restaurant trois étoiles de Joël Robuchon, puis d’Alain Ducasse. Ce dernier, dans […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.