Le panorama imprenable sur Bordeaux, ses toits, ses clochers, la Garonne au loin, le proche Grand Théâtre vu quasiment du ciel, ses colonnades majestueuses, les Quinconces, son esplanade, justifie à lui seul la montée sur le toit du Grand Hôtel, au 7e étage, avec ses beaux espaces garnis de plantes variées sur 100m2 à ciel […]...
Ils tenaient « Comme dans les Landes » à Paris 5e, voilà Eric Giraud et Eric Satger jouant la même formule de tapas dédiés au Sud-Ouest, dans une rue gourmande du coeur de Bordeaux. Le cadre est contemporain, la terrasse a du succès sur la rue semi-piétonne et les idées fusent sur une carte changeante et séduisante. […]...
Lucien Gabillaud, régional de l’étape, qui gère une boutique de déco scandinave toute voisine, portant la même enseigne, et Peter Johansen, pur danois, qui fut styliste jadis pour les chaussettes Falke, et puise dans le livre de recettes de sa grand-mère pour réaliser des mets de qualité, ont créé une petite ambassade danoise de charme […]...
Le chef Louis Richard est un modeste, formé jadis à Paris à l’école Ferrandi, passé chez Jean-Paul Jeunet, le deux étoiles d’Arbois en Franche Comté, installé discrètement à Bordeaux, quai des Chartrons, sous une façade stylisée. Le cadre intérieur a du charme, façon couloir discret avec sa cuisine apparente. La terrasse fait un tabac justifié […]...
C’est toujours le bon coût du Saint-James côté village. Un ancien café de bourg, à pas deux pas de l’église et à la promenade panoramique, qui donne le sentiment au gourmand bucolique de manger à la campagne sans aller trop loin, ni aucunement se ruiner. Le menu du midi est un cadeau, changé chaque jour […]...
Quand trois copains – Romain Lejeune, qui possède la Maison Mère et le Harriet’s Café, Edwin Crockett, qui se partage entre salle et comptoir, et Benoit Laborie, ancien de l’Atelier Robuchon à Londres, qui officie aux fourneaux – fondus de cuisine californienne, décident de créer une table tendance avec ses murs de pierres grattées, cela […]...
Pierre Martin, qui tenait l’Iguane à Mérignac, a repris cette brasserie historique du cœur de Bordeaux (c’était le Bistrot des Quinconces), l’a débaptisée et l’a revu en lieu chic et affable. Ce fou de bons vins a constitué une cave exceptionnelle avec plus de 500 références, plaçant en cuisine une équipe sérieuse, souvent formée dans […]...
Face au chemin de la gloire, où sont imprimés dans le sol les traces des mains des navigateurs, triomphateurs de la mer, avec « l’amiral Kersauson » en vedette brestoise et mondiale, cette table moderne, avec sa grande terrasse et sa déco contemporaine propose des nourritures avec des assiettes partageuses et voyageuses, des planches canailles, fromages et […]...
Fabien Touraille, qui tient cette maison avec ses succursales multiples dans la même rue, parvient à servir quelque cinq cent couverts sans discontinuer au fil de ses différentes salles, façades, terrasses. La cuisine, qui peut y être terrienne, s’affiche joliment marine sur le mode bistrot. On a connu là Stéphane Carrade, venu du Grand Hôtel, […]...
On vous a parlé de Rabah Maouche, natif de Constantine, qui a fait de Zazou un salon de thé prisé, avec sa terrasse ombragée sur une placette champêtre. On peut venir là pour un café, un thé à la menthe, une crêpe ou une gaufre au chocolat, des tartes aux fruits de saison (fraises, myrtilles) […]...
L’exquise surprise d’un voyage au cœur du vieux Bordeaux : la découverte de Sambrosa, café italien avec des accointances ibères de bon ton. Basque et fier de l’être, aimant l’Espagne, comme l’Italie, Hugo Seguy propose la foccacia en version variée et exquise (comme celle façon croque monsieur), comme un café ristreto d’exception issu d’une machine […]...
Le Tamatebako ? Une référence japonaise au mythe de la boîte de Pandore. A cette enseigne sibylline, un vaste salon, son comptoir, ses gâteaux variés (chocolat, cake), ses thés en rafale, ses cafés bien choisis vous attendent. Le choix est impressionnant, le conseil utile, le service soigné. On vous propose, par exemple, un genmaicha ou […]...
Ludovic Le Goardet, qui a longtemps travaillé en Suisse et tenait un bistrot gourmand à Carouge près de Genève, pour Philippe Chevrier, le deux étoiles du Domaine de Châteauvieux à Satigny, a créé l’événement dans le quartier du tribunal bordelais avec cette belle table colorée, drôle, conviviale, en forme de bistrot à l’ancienne revu tendance. […]...
Une « grande maison »? Evidemment. Cette demeure XIXe dans son jardin, décorée dans le style Napoléon III, avec son grand service sous la houlette du malicieux Jean-Paul Unzueta, sa cuisine pleine d’envolée dominée par le disciple nippon Tomonori Danzaki vaut trois étoiles, d’emblée, sans hésitation. Il y a là comme une leçon de choses signée Joël […]...
Depuis 2004, cette boutique (au 29) doublée d’un bar à tapas (au 35) qui fête l’Espagne sous toutes ses formes. Splendides jambons de Bellota, jolis vins d’entre Rioja et Penedes, sandwiches, bocadillos, tartines façon pinxos font se confondre vieux Bordeaux et Donostia. L’ambiance est joyeuse, le conseil d’Enzo et Anthony pertinente et la découpe du […]...
Rabah Maouche, natif de Constantine, qui tient avec son frère « le Marahba », une table algérienne dans le quartier « maghrébin » de la vile (27, rue des Faures), a fait de cette table, genre salon bien élevé, avec sa terrasse ombragée d’une placette champêtre, l’un des rendez-vous gourmands de la ville. On vient là croquer un plat […]...
C’est le genre de lieu qui donne le sentiment que Bordeaux est bien le centre du monde. Bord d’eaux, comme disait Pierre Veilletet, avec ses placettes ombragées, ses terrasses tirées vers le soleil, ses boissons douces ou fortes, son atmosphère complice, familière, complice, sans jamais être triviale: voilà ce qu’offre ce Café des Artistes signé […]...
Florence et Eric Mallet, bayonnais conquérants, qui possèdent déjà la Makila Kafé, au Hangar 17, au quai des Marques, ont repris et rénové cette belle orangerie XVIIIe, en ligne de mire sur le jardin public. Ils y offrent une restauration soignée au fil des jours. On sert là en continu, les petits déjeuners tardifs, le […]...
Ils possédaient déjà le Petit Bois, 18, rue du Chai des Farines. Pierre Philippot et Jean-Philippe Cuttulic ont fait de cette seconde maison un lieu, musical et relax, où l’on boit, grignote, devise, prend la pause à toute heure. De 11h à 2h du matin, 7 jours sur 7, on goûte thé, glaces, tokay de […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.