La Villa Katz ? Une demeure Jugendstil pleine de charme, décorée avec amour et bichonnée avec ferveur par sa patronne Suzy Schmitt. Celle-ci, que l’on connut jadis à la Taverne Katz en ville, au coeur de la Grand Rue, où officie son fils aîné Pierre, compose des mets dans l’air du temps, relayée aux fourneaux […]...
Evidemment, cette maison là, vous la connaissez par coeur. Il y a l’accueil de Lynda et de Pierre, la déco de carte postale, la carte de winstub fière de racines. On trouve là exactement ce qu’on demande à une taverne d’Alsace. Les plats de mémoire et de toujours, les grumbeerekiechle, la timbale de volaille qui […]...
On l’imaginait en maison d’hiver, où c’est toujours Noël. Voici la Villa Katz version maison d’été, agrandie, embellie, avec sa piscine, sa salle claire façon jardin, sa terrasse au dehors, son charme un brin british. Suzy Schmitt-Camus, qui fut la reine de la winstub en ville, en la taverne éponyme de la grand rue, a […]...
C’est, on le sait, l’une des belles plus winstubs d’Alsace, avec son cadre boisé, ses airs rieurs, son histoire ancienne, celle de la maison du receveur d’impôts de l’évêché Henri Katz, bâtie en 1605, agrandie en 1668, devenue annexe et même débarras de la mairie, avant de retrouver une vie neuve dans les années 1980 […]...
Une taverne cosy, une winstub à l’ancienne, dans une demeure renaissance qui est la plus vieille de sa ville: je vous en ai déjà parlé. Là voilà qui parle elle-même, grâce aux images délicieuses de Maurice Rougemont. Bois, kelsch, couleurs chatoyantes, recoins chaleureux, belles lumière et gourmandise d’une timbale de volaille sous croûte ou d’une […]...
Elle a fondé une dynastie, après avoir lancé la Taverne Katz à Saverne, au coeur de la grand rue piétonne et dans la plus belle maison de la ville. C’était dans les années 1980. Son aîné, Pierre, l’a reprise avec allant. Son cadet, Dominique, est aujourd’hui à Furdenheim à la Ferme des Trois Frères (ex […]...
Un monument d’art alsacien, une demeure comme une carte postale : cette maison sculptée de 1605, agrandie en 1668, fut jadis celle d’Henri Katz, ancien receveur général de l’évêché. Et c’est, juste à côté de l’hôtel de ville, la plus belle demeure de la cité savernoise. Elle abrite une taverne avec boiseries, poutres, gravures, nappes […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.